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PAR LE PAROMiTRE , etc.
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tion , il a repris le diviseur 215 de Deluc , mais il a fixé à 11,75°. de Réaumur, la température, moyenne. La formule ainsi changée, devient, en employant le thermomètre centigrade,
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0000t. ( log. H [1 + 261 (
log. Ii)
14,69 )] (1).
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Iv. Les observations barométriques à l'aide desquelles on doit déterminer les hauteurs, exi(gent quelques attentions dans la pratique, tant_par
Considéra, Kati -
rapport à la nature de l'instrument, que par rapport aux circonstances météorologiques , dans lesquelles elles doivent être faites.
Kirvvan Le Roi, le Monnier, ont encore fait quelques légers changemens au facteur, qui exprime la température; on peut les voir dans le Mémoire de M. Ramon.d déjà cité. Ce savant , après y avoir exposé les diverses formules données jusqu'à ce 'jour sur la mesure des hauteurs par le baromètre, a comparé leurs résultats avec les mesures géométriques ; il a examiné de combien chacune d'elles s'éloignait de la réalité, et dans quelles circonstances de température elle s'en écartait le plus : nous renvoyons à son intéressante dissertation , pour
On se sert, pour la détermination des hauteurs de deux espèces de baromètre les uns à siphon, tes autres à cuvette. Deluc préfère les premiers ; quelques autres ph-ysiciens donnent au contraire la préférence aux autres, lorsqu'ils sont faits de manière à ce que le niveau du bain. de mercure, dans la cuvette, puisse toujours être ramené à un point fixe , quel que soit la' longueur de la colonne : s'ils sont bien faits, l'air' y entre très - difficilement, et lorsqu'il s'y en indroduit quelque peu, ils sont plus aisés à reconstruire. L'échelle doit être garnie d'un rio-
son jour, c'est l'égalité de marche de la for); mule de M. Laplace, qui, à toutes les tem)) pératures , s'est toujours tenue au plus près » de la hauteur vraie. ))
leur monture, afin, que dès qu'on les met en expérience, on puisse savoir le degré de température de la colonne : s'il fallait attendre qu'ils eussent pris celui de l'air ambiant , indiqué par le thermomètre libre, on attendrait souvent 3 ou 4 heures et même plus; et au bout de ce tems , on n'en serait pas encore certain. 'Cette même raison rend indispensable le thermomètre libre. Il est superflu de dire que ces divers i.nstrumens doivent être faits et gradués
les détails de cette comparaison, et pour les conséquences qu'il en a déduites : nous nous bornons à rapporter sa conclusion finale. c, Mais ce que )) ce tableau ( de comparaison ) met .dans tout
(i) Nous ne substituons point au coefficient ocoo'. cemètres : ce serait enlever à cette formule le seul mérite qui lui reste , la simplicité. lui
nius , qui indique au moins les dixièmes de millimètres: on sait qu'un de ces dixièmes répond à plus d'un mètre. Les baromètres doivent être en outre garnis d'un thermomètre enchâssé dans