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SUR LS.1)1S,T.TLFIJII.A.TION
inféLien séparée, l'une -occupant la partiefondu rieure n'était que 'du sulfure de plomb sans mélange de plomb ductile ; 'l'autre pré,sentait tous les caractères de l'oxyde de plomb appelé .verre de plomb ; cette partie était une combinaison d'oxyde et de silice provenant du creuset sans-indices de sulfate de plomb. Cette expérience inc prouva crite',W,plornio de la galène était Oxydé aux dépens de l'acide sulfurique ; mais elle ne fait pas. connaître la quantité de galène nécessaire à la décomposinon complète du sulfate. Je crois cependant dune partie.. du. premier à que la deux du second, est assez convenable ; elle se rapproche d'ailleurs beaucoup de celle que l'on. peut déduire par le calcul, de la composition. de ces substances. Les conséquences naturelles de ce S faits sont et le sulfate de les suivantes : -0. la galène mutuellement à une plomb se décomposent 20. Cette décomposition température élevée. donne lieu à la formation et au dégagement -d'une grande quantité d'acide sulfureux, et par conséquent à la séparation d'une portion considérable du soufre contenu dan lei Minerai (1). 30. Le résultat est de l'oxyde de plomb lorsque les proportions sont convenables, et dans le cas contraire, un mélange d'oxyde et. (1;) Si l'on admet qu'un -mélange de i de sulfure et 2 de ,sulfate se décomposent entièrement et soient réduits à de l'oxyde. de plomb, la quantité de soufre séparée sera manière que s de sulfate, dans une quantité indéfinie de galène, séparera 4' de partie de soufre, et de sulfure dans du sulfate en séparera
D E: S IVITA UX
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de sulfate, ou d'oxyde et de galène. L'application de ces conséquences , au grillage du sulfure de plomb dans ce fourneau à réverbère est facile à faire. Je vais exposer la théorie de cette opération telle que je la conçois. La galène pulvérisée ou le schlich de plomb, étendu sur la sole du fourneau en couche de
quelques pouces d'épaisseur dont la partie supérieure est exposée à l'action de Pair, donne lieu aux phénomènes que nous avons observés , dans les grillages ordinaires. La chaleur vaporise un peu de soufre ; convertit une partie de celui sur lequel il agit, eii acide sulfureux quise dégage, et un autre plus considérable en acide sulfurique, qui se combine au plomb oxydé en même -Lems. On remue le minerais : le sulfate de plomb-se mêle au schlich n décomposé , et leur décomposition produit de
l'acide sulfureux ; la surface de la couche qui a été renouvelée, reproduit du sulfite qui sert ensuite à opérer un nouveau dégagement de
gaz, et à continuer ainsi la désulfuration à laquelle on ne voit d'autre terme que la décomposition complète de la galène. Si l'opération
a été bien conduite, et s'il ne s'est pas forme-ç trop de sulfated.eiplomb , le résultat du grillage sera de l'oxyde de plomb presque pur; dans le cas. contraire, il pourra y rester du. sulfate , que le charbon ramenera à l'état de sulfure, et dont la décomposition se fera comme celle de la galène. On peut juger, d'après cet exposé , combien il est important de ne pas fondre le sulfure de plomb soumis au grillage; cor l'action de l'air sur le 'minerai fondu serait bientôt rendue nulle par la formation de l'oxyde 13 2
Thé,r:e
du grillage au fourneau à ré verbère.;