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s'UR LA NATURE, etc. semblans à de l'émail blanc opaque ; que dans
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une autre expérience, dont ils n'ont pas cru
devoir tenir compte , la soupçonnant de quel-
SUR LA RÉUNION
que inexactitude, le calcul leur donna 29,96
DE
fin, que la différence du diarnant,et des autres substances charbonneuses leur paraît devoir être attribuée uniquement au mode d'agrégation de leurs molécules. On verra dans la description que nous donnerons de nos expériences sur le même sujet, que noire appareil pour la combustion par le
LA PYCNITE AVEC LA TOPAZE (1).
pour 7:- de diamant dans l'acide carbonique ; en-
gaz oxygène est peu différent de celui de MM. Allen et Pepys ; elle s'opère également dans un tube de platine, et une forte pompe à cric y fait passer le gaz oxygène au lieu du ga-
zomètre. Nous y avons ajouté un tube de verre courbé , rempli de muriate de chaux en morceaux, qui est très-avantageux pour s'assurer par la pesée exacte, avant et après l'opération, si le gaz est privé de toute l'eau qu'on peut lui enlever par les moyens hygrométriques. Nous ferons connaître en même teins les résultats de nos essais, par divers procédés, et entre autres avec la pile voltaïque, dont l'action, assez puissante pour enflammer le platine et décomposer la potasse, a été interrompue par l'interposition d'un diamant dans la chaîne.
Je n'ai pas besoin de faire observer que le
travail de MM. Allen et Pepys , les moyens ingénieux qu'ils ont pris pour vaincre les difficultés , et l'impartialité qui les a guidés dans l'exposition des faits, ajoutent un nouvel intérêt à ces recherches.
Par M. H A 11 Y.
LE minéral auquel j'ai donné le nom depycnite , n'a été encore trouvé qu'à Altenberg en. Saxe, sous la forme de longs cristaux prisma:. tiques, déformés par des stries logitudinales , et réunis parallèlement les uns aux autres. Leur couleur varie du blanc jaunâtre au rouge violet. La roche qui leur sert de support est com-
posée de quartz et de mica. Ce minéral est connu depuis long-tems. Romé de l'Isle l'a cité sous le nom de sclzorl blanc prisnzatique. M. Reuss et
d'autres minéralogistes étrangers, en font une espèce à part qu'ils appellent stangenstein mais M. Werner le regarde comme une variété de l'émeraude de Sibérie, qu'il sépare de celle du Pérou. en lui conservant le nom de béril , et il donne à la pycnite celui de schortartiger heril (2). (i) Voyez planche I , figures i et 2. (2) On a cité, sous ce dernier nom , des cristaux en prismes hexaèdres réguliers, modifiés par des facettes obliques,
que l'on trouve à Swisel en Bavière , et que j'ai décrits , dans mes derniers cours, parmi les variétés de l'ém eraude comme ayant la même forme de molécule et les mêmes caractères physiques.
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