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SITSTLAG eOLOGIt
paraissent provenir d'un dépôt particulier,
par le nom de Ibrmation
'qui-distinguerai
ee's-biano. Ces couches ne " constituent jamais ell:es"-Serees "une g,rande'étendue de pays ; elles Sont seulement répandues par lambeaux ou par Terrain
meuble.
taches au-dessus des autres terrains, sur-tout _ . calcaire horizontal. Toutes "Ces' formations sont, en général reçbuvertes Par dés 'dépôts plus, ou moins pro-
fonds de matières très-différentes, connues sous
les noms de sables, d'argiles', limon d'atte;:MS'ement ti'rre végétale, eté parmi lesquels
peurrairprebahlement distinguer des traces d'Origines 11s:différentes , telles que des terrains marins', des 'terrains d'eau -douce , des alluvions , des terres produites par la destruction locale des couChes inférieures, etc. Je les
réunis toute en nn seul, groupe qu'il est im-
possible de bien caractériser, à .canse des grandfes--'variations- que présentent ces allias; mais Cbirune mie de leurs propriétés les plus g,éné,
raies est de- différer des couches régulières.. par défaut d'adhérence des parties , l'ai cru pbuyoir les nommerfhrmation du terrain meublé , dénotriiiiation qui est cependant très-imparfaite, puiSqu'il existe de Cesmatières agglu-
tinées en forme de' grès. Au reste les sables, d 'i-cette formatio n se distinguent de ceux qui accompagnent le grès blanc par plusieurs cafactères , 'dont --un des-- 'pliiiernarquables est Wprésérice'des-catireinx roulés qui ne se trouTerrain volcanique.
vent pas dans les grès blancs.
Outre les basaltes que j'ai annexés à la formation trappéen'ne , le Nord de' la France pré-, sente, comme je l'ai déjà indiqué , des terrains
DU NORD Dr, LA rn.Aricr; dont l'origine ln-de:a/zigue est évidente, et qui diffèrent des basaltes en ce qu'ils sont toujours posés sur les couches environnantes , tandis que les basaltes sont recouverts par les ardoises:
ce terrain constituera une dernière jermatiiin que je place à la suite des autres sans vouloir prétendre (pie ces volcans aient agi après les révolutions qui ont donné naissance au terrain meuble.
J'avais eu envie de décrire chacune de 'ces
Motifs qui
ont porté à formations à la suite les unes des autres, en. les diviser le examinant successivement dans les différens territoire en régions
lieux où elles se trouvent ; mais cette manière géologiobligeait de passer à chaque instant dans des ques. contrées fort éloignées , et forçait de revenir plusieurs fois dans:tin même pays, ce qui eût entraîné des 'répétitions fastidieuses et n'eût point offert le tableau de la constitution géologique de chaque bassin- Une description par département nécessitait encore plus de répéti-
tions et rendait plus difficile la connaissariCe des arrondissemens géologiques. J'ai cru, d'a-
près ces motifs, que le parti le plus avantagel-ix
était de diviser le territoire que j'entreprends
de faire connaître, en régions ou cantons géologiques, pour l'établissement desquels je combi-
nerais la nature et l'aspect du terrain
géographiques. Les dénominations qu'il convenait de donner Difficulté de nommer onn:. à ces réglons, ne laissaient pas de présenter 1';é7gi'e certaines difficultés : je ne pouvais' les désigner par la nature da terrain et les noms de départemens, puisqu'une même formation se retrouve dans deA. parties très-éloignées leS'unes des antres , et que les -départeniens sont 'quelquefois avecpositions