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DESCRIPTION ETS'IdORIE
du balancier, l'autre, lisse et d'un plus petit diamètre, glisse contre ces dents ; les dents de cette roue sont telles, qu'elles ne cessent leur engrenage de l'un des côtés, que lorsqu'elles ont commencé à engrener de l'autre. Le mouvement de cette machine s'exécute de la manière suivante. Le piston CP étant parvenu au point le plus haut dans le cylindre, la dernière dent de la roue RR est prête de se désengrener de l'arc E, qui devient libre ; il permet au piston supérieur, dont le, poids est plus considérable que celui du levier E, de descendre et de l'entraîner en descendant (i). Pendant que le piston CF descend jusqu'à la ligne ponctuée min, les dents de la
roue RR engrènent dans la crémaillère fg,
DES SOUFFLETS CYLINDRIQUES.
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DAI couvercle, et dont l'ouverture est sans soupape, celle du piston CF étant fermée. Le piston inférieur pousse de même, en montant,l'air contenu entre les deux pistons ; cet air comprimé soulève les soupapes du piston supérieur (et qui descend) pour aller s'échapper par le conduitF: on obtient ainsi un courant continuel , conséquemment la machine doit souffler sans interruption. Deuxième moyen. La.fig. 3o représente une élévation de cette machine, on y voit : CC, le cylindre ouvert par en bas et fermé par en haut.
PQ, les deux pistons qui se meuvent en
élèvent le piston Q C jusqu'à ii ii, où il arrive un peu plutôt que l'autre en in m. L'arc de cercle denté E, élevé par le piston CP, pendant sa descente engrène avec les premières dents de la roue 11R, au moment où celle-ci quitte la crémaillère ; alors le piston C Q tombe pendant que celui CF est élevé.
sens opposé, et qui ont chacun deux soupapes qui s'ouvrent par en haut.
De cette manière le mouvement est continuel et en sens contraire, et comme il existe toujours un piston montant, il en résulte une sortie d'air constante. Le piston supérieur pousse, en montant , l'air supérieur dans le conduit F, attaché
l'axe c; il est terminé aux deux extrémités par des arcs de cercle.
(i ) Si le piston n'avait pas un poids suffisant on pourrait allonger le balancier E G et fixer le point d'oscillation au milieu de sa longueur, et placer à l'extrémité G un contrepoids plus ou moins fort. (Note de l'Auteur.)
de, la tige du piston inférieur, et b la tige
cylindrique polie du piston supérieur.
S, la boîte à cuir fixée sur le couvèrcle et
dans laquelle passe la tige b. ,
le balancier supérieur mouvant sur
a a, les chaînes articulées qui passent sur
les arcs de cercle et qui suspendent les tiges b et p q. D E, le balancier inférieur se mouvant sur
l'axe i; il est terminé des deux côtés par des arcs de cercle dont l'un E est denté. RR, une roue de fonte, fixée sur l'arbre de
la roue hydraulique ; elle est divisée en quatre 113