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DESCRIPTION ET THEORIE
DES SOUFFLETS CYLINDRIQUES.
.parties ; deux sont garnies de dents, ét les deux. autres sont unies (1). Deux de ces ro-ries sont placées l'une à Côté de l'autre sur l'arbre ; elles sont tellement disposées-, que l'arc denté de l'une correspond
l'arc uni de l'autre. La roue R R, qui est la seule visible dans ce dessin , engrène dans l'arc E du balancier E D, pour faire soulever le piston Q Q, par le moyen de la chaîne ic k attachée à la tige dé. La seconde roue, qui n'est pas vue dans ce dessin, engrène dans la crémaillère de fer fixée à la tringle p q, et celle-ci attachée à la 'chaîne fg, tire le ihalancier BA et soulève le piston P attaché àl'autre extrémité parla chaîne a q. Les deux pistons descendent l'un et -l'autre par leur propre poids, modéré 'par les contrepoids S Le mouvement et le résultat des deux pistons sont les mêmes dans cette machine que dans la précédente ; ils font chasser l'air dans le Conduit F pour être de là porté 'dans les tuyères. Il est inutile d'observer que, dans cette machine comme dans la précédente, l'espace que parcourt chaque piston doit être limité , afin que clans leurs mouvemens ils ne se touchent -et qu'il reste. toujours Un petit espace entre eux. .
(i) Les arcs dentés des roues doivent être ici fAus longs q°e. les arcs vides , comme- dans la. machine 'précédente.
(Note dé l'Aetére.)
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-Troisième moyeu.
On voit ,fig. 32, cette machine dé coté, et fig. 33, de face. Elle se distingue des deux 'précédentes, parce que les deux pistons placés dans
le cylindre sont mus par le bas, et qu'il n'est
besoin d'aucun- arrangement dans la partie su-
.périeure , pas 'même de boîte ; que le mécanisme en est plus simple , et que les bCitimens dans lesquels on les place peuvent être moins hauts. Sur le milieu du piston QQ, est une ouver-
ture sur laquelle est une boîte à Cuir S, dans
laquelle passe la tige. ab du piston supérieu r PP. Cette tige, qui monte et descend dans une position verticale, est attachée hors la boîte S a une
tige de bois carrée, sur laquelle est une crémaillère rr, de la longueur du mouvement du piston. Le deuxième piston QQ, est attaché à deux tiges carrées f g , fg, à une égale distance de la tige de ; elles sont recouvertes d'une créniaillère de fer comme la précédente , et cette crémaillère est placée à la même hauteur. Sur l'arbre MM dé la roue hydraulique, sont attachées trois roues dentées à moitié, PV RIL, XX ; chacune d'elles correspond à un des leviers ; elles ,sont fortement assujéties sur l'arbre , et elles sont tellement disposées , que les -arcs dentés de la roue du milieu RR , Correspondent aut arcs vides des deux roues eXtrernes
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FT; XX. Les deux roues extrêmes Fr, XX en gré-
'lient dans les deux crémaillères des tiges :carH4