Cette page est protégée. Merci de vous identifier avant de transcrire ou de vous créer préalablement un identifiant.
3:20
DESCRIPTION ET THEORIE
rées fg, J, et font monter le piston Q Q ;
pendant que celui-ci descend par son. propre, poids, la roue dentée RR engrène dans la crémaillère de la tige de, pour faire remonter le piston P P. Pour retarder la descente trop rapide des pistons, on a placé, contre chaque tige carrée, du côté opposé à la crémaillère , des balan-
ciers AB, A' B' A"B"; ils y communiquent -
par .des chaînes articulées qui passent sur des -arcs de cercle., de l'autre côté sont des contre-
poids S, S', S".
Chaque piston a deux soupapes comme ceux
- des machines précédentes. Le reste de la construction est semblable à celle des autres.
Toutes ces machines n'exigent que quatre
DES SOUFFLETS CYLINDRIQUES.
121
en bas ; l'inférieur DB est fermé en haut et ouvert en bas : ils se communiquent par une large ouverture V, sans soupape. Dans chaque cylindre est un piston P C,DQ avec deux soupapes qui s'ouvrent en dedans. La tige du piston supérieur PC passe par la boîte à cuir S. Il est poussé en haut par la tige
hb sur laquelle est une crémaillère dans laquelle s'engrène la roue dentée R, fixée sur
l'arbre de la roue hydraulique MM. La seconde tige cd est attachée au piston D Q; elle est de même élevée par l'autre roue dentée R. Les deux tiges qui correspondent à chaque
piston, qui sont placées devant chaque roue, ont par derrière des balanciers et des contre-
soupapes au lieu de huit : on peut y faire
poids, comme dans lajig. 32, lesquelles ne sont pas visibles dans ce dessin. Le conduit du vent F est fixé sur le couvercle du piston supérieur; il est, comme l'ouverture V, sans soupape.
s. X I I.
Le jeu, la marche et les effets des pistons, sont les mêmes que dans les machines précédentes.
commodément toutes les réparations qui leur sont necessaires , parce que les pistons peuvent sortir plus facilement par en bas.
Arrangement d'un soufflet fOrmé de cieux cylindres- placés l'un au-dessus de l'autre, et dans lesquels les pistons se meuvent dans un sens opposé. On peut également appliquer le principe 'des pistons qui se meuvent l'un contre l'autre, dans deux cylindres séparés, places l'un au-dessus de
l'autre, ainsi qu'on le voit dans la lig'. .34. Ce, D D sont deux cylindres de même grandeur dont le plus élevé est fermé en haut et
s. X II I. Description d'une machine soufflante cylindrique avec deux pistons 'se mouvant l'un vers l'autre, lesquels sont mis, en mouvement
par des cames cycloïdales. Les deux cylindres CG, D D sont, dans cette fig. 35, comme dans la précédentefig .34, placés
l'un sur l'autre , et tels que le supérieur CC