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16o suit uNE CHAUX FLUATI1E , etc. et au :même degré que pour le spath fluor ordinaire 3.. leur structure par la division rm;canique qui eut lieu
sur les huit angles solides , et nie donna pour forme primitive l'octaèdre régulier. Quoique ces 'résultats fussent sulfisaus pour m'éclairer sur la nature de la substance que je venais d'examiner , je priai néanmoins M. Pelletier habile pharmacien , digne fils du célèbre chimiste de ce nom , de vouloir bien m'aider à faire quelques essais chimiques qui plissent venir à l'appui d'une opinion qu'on ne m'accusera pas d'avoir adoptée légèrement. Nous réduisimes en poudre quelques-uns des cristaux en question, nous versâmes dessus quelques gouttes d'a.cide sulfurique. La diss,olution chauffée légèrement ne tarda pas à dégager. une vapeur blanche piquante , qui corroda sensiblement une lame de verre exposée à son action. J'ajouterai , pour qu'il ne reste lieu à aucun doute, que plusieurs échantillons que j'ai déposés à la Collection du Conseil des Mines, ont été examinés par MM. Tonnellier , conservateur du Ca-, binet de minéralogie , et Collet-Descostils , ingénieur en chef des mines , chargé des analyses , et que ces deux savans ont obtenu des résultats semblables à caux consignés C'est, je crois , la première fois qu'on a reconnu la chaux fluatée dans le département de la Seine
MM. Launoi l'ont retrouvée depuis en plus gros cristaux à Neuilly, près Paris. Le banc qui renferme celle
du Marché aux Chevaux , est une chaux carbonatée grossière grise que les ouvriers nomment plaquette , située neuf pieds de profondeur. Les substances qui le recouvrent sont, 10. cinq pieds de terre végétale ; 2°. un pied et demi de marne blanche herborisée ; un pied et demi de tuf grisâtre340. un pied de terre. Le trou par lequel on voyait à découvert la couche calcaire qui servait de gangue aux cristaux de spath fluor , a éte comblé depuis en entier.
JOURNAL DES MII0ES. N°. 147. MARS 1809. FIN DE LA DESCRIPTION ET THÉORIE D E s Sozfets cylindrzques anglais, avec quelques projets sur l'amélioration de ces machines. Par JOSEPH BAADER , Conseiller dé la Direction générale
,de Bavière , Membre du Bureau intime des Mines, Salines , etc. etc. Imprimée à Munick , chez JOSEPH LINDANER en 18°5. Traduit de l'allemand par M. **".
DEUXIÈME PARTIE. Théorie des Soufflets cylindriques S.
jer.
SI dans un cylindre métallique ahcd, pl. III, 36 , ouvert par en haut, fermé par en bas, posé verticalement et parfaitement calibré, on suppose un piston A remplissant exactement le cylindre et se mouvant sans frottement; que le piston touche le fond b c sur lequel soit une rolunze 25.