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'ruiortiz
DESCRItYION
largeur de f trouvée par le calcul, il faut que dans l'exécution elle soit quatre fois plus grande;
de là f
a--0,2 va, en supposant que la
résistance pût être négligée, sans quoi on aurait ) (, + 2 h (Kzta'
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4 g h 7-v.
s. X V I. La théorie du régulateur à piston est trèssimple. Tout consiste en ceci, que le piston du régulateur doit être élevé pendant l'entrée de l'air du cylindre par toute la quantité qui excède celle qui, est dépensée par la tuyère, et que cette élévation soit égale à l'abaissement qui a lieu pendant qu'il entre de nouvel air dans le cylindre, et que celui-ci cesse d'en.
envoyer dans le régulateur : abaissement occasionné par la continuation.de la ,sortie de l'air du régulateur qui.i.est supposé avôir une vitesse
et une densité uniforme (1). Il est nécessaire que l'élévation commence avant que le piston du régulateur soit descendu jusqu'au fond pour que l'air sorte sans interruption. Il faut pour (i) Le piston exerce un frottement dans ses mouvemens ; ce frottement est tel, que le ressert de l'air" én montant fait 'équilibre au poids plus le frottement, et en descendant au poids 'moins le frottement: il en résulte delà que dans le premier cas l'air est plus comprimé que 'dans le second. Mais lorsque le cylindre est bien alésé, le piston bien calibré, ces frottemens peuvent être négligés et le courant peut être considéré comme constant. (Note de l'Auteur.)
DES SOUTYLETS CYLINDRIQUES.
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cela que la capacité du régulateur soit double au moins de celle du cylindre. Comme le piston dans le régulateur est une niasse lourde qui éprouve un frottement plus ou moins grand, son mouvement d'ascension et de descente éprouve quelques variations. Lorsque par le ressort de l'air entrant il a acquis de la vitesse en montant, il continue encore de monter, quoique l'air du cylindre cesSe d'entrer : alors la densité de l'air diminuant
par la continuité de sa sortie, le piston, par
l'excès de son poids, tombe de quelques pouces, il comprime trop fortement l'air qui réagissant
sur lui, le repousse et produit des oscillations dans sa marche, oscillations analogues à celles d'un ressort tendu quand on supprime la force
qui exerçait sur lui son action. La détermination de ces oscillations exigerait l'usage d'une analyse extrêmement élevée ; mais comme ces re-
cherches et toutes celles qui sont d'une égale sublimité ne sont pas essentielles dans la prati-.
que , et que l'on ne se propose dans cette dissertation que l'examen des cas les plus nécessaires à la théorie des soufflets cylindriques .je
me contente de faire remarquer ce mouve-
ment d'oscillation qu'on reconnaît au tremblement du bruit occasionné par la sortie de l'air par la tuyère (i). (t) Comme ces oscillations, qui occasionnent dé grandes secousses dans toutes les parties de la machine , et qui dérangent l'égalité du soufflet, sont plus considérables dans
des cylindres d'un petit diamètre et dont le piston a un grand mouvement, on préfère en général des régulateurs d'un grand diamètre dans lesquels le piston ne parcourt qu'un très-petit espace. (Note de l'Auteur.) 2