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DESCRIPTION ET TIIIORIE -
l'alternent uniforme, c'est-à-dire, qu'il parcourt des espaces égaux dans des teins égaux.. 20. Qu'au commencement ou à la fin de chaque expiration , lorsqu'ils agissent ensemble
la pression sur l'air reste la même et comme s'il n'existait qu'une seule pression.
' La vitesse doit donc être augmentée au com-
mencement de son mouvement pour expirer l'air, ;puis uniforme pendant la durée- presque entière de son action, et elle doit diminuer vers la fin. C'est dans les moyens d'obtenir ces trois mou+ vemens aux trois époques différentes, que conL.
siste principalement la question relative à la nature dit la ferme de la courbure là plus favorable aux cames des machines soufflantes;
et il est facile de Conclure que la forme qui doit satisfaire à cette question, n'est ni une cycloïde, ni une épicycloïde , ni une ligne spirale hyperbolique, ni un cercle excentri
que , ni aucune des courbes connues. On a, la vérité, recommandé et. même employé ces di-, verses courbes, mais jamais on n'a pu par ces
moyens obtenir un souffle uniforme et 'continu. Toujours on a été obligé d'ajouter un. -troisième cylindre soufflant aux deux qui exis-
taient, ou de les faire communiquer avec un régulateur. Ou peut cependant obtenir un courant eair uniforme et constant avec deux seuls cylindres., .en faisant usage des cames dont nous anon§ faire connaître la construction. Sur une table de bois de tilleul ou de sapin
DES :SOUFFLETS CYLINDRIQUES.
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blanchie à l'huile: ou à .1a colle formée de grandes planches bien unies et bien (tressées on 'trace la fig.- 41. Pour cela du point M oi. trace de grandeur 'naturelle le cercle M 8 u 8 tel qu'il touche le' point le plus bas du soufflet, et dans l'intérieur de ce, cdrcie l'octogone ni ii op qrst, par le centre et cun .des. ,angles de l'octogone, on mène des rayons. Sur le rayon M m prolongé, on porte une longueur 8 A égale à l'élévation que l'on veut donner au piston , et avec le rayon MA, on décrit le cercle A B CD, que l'on divise en 8 parties égales en le faisant rencontrer par les
s, droites M in, Mu, Me ,Mp,Mq huitième partie Ms, Mt prolongées. Chaque C, etc. est divisée en , de l'arc A (3, B, autant de parties que l'arc de cercle put
permettre sans présenter de confusion. A e, par exemple, est divisé en 2 en ce ; A a. en deux.
parsies en y ; A y en deux parties en E , etc. On pourrait porter ainsi cette division A f; en 128 parties si cela était possible , ce qui diviserait
le cercle entier en io24 parties: Cela posé , 11 faut ensuite .clivi-ser la longueur A 8 en 8 parties égales puis chaque partie en autant de divisions que la. clarté: de, la figure le permet ; de manière que de-chaque, point de division en.. puisse avec une .règle M N, fig. 42, décrire des arcs de cercle .qui puissent rencontrer les aunes droites correspondantes. On fixe cette règle sur le centre 31, par le Moyen d'une goupille : un curseur a b qui peut s'arrêter par une vis de pression, coule le long de LN, et une pointe d'acier coniqu2.