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DESCRIPTION ET TId:ORIE
DES-SOUFFLETS CYLINDRIQUES.
à la fin de chaque expiration, il faut déterminer les courbes comprises entre les arcs A g. et Ce. Pour cela partagez la ligne A 1 en trois par-
'tracer la courbe A a 1 , dont la pression doit aller en diminuant successivement à mesure que la .came approche du point oi elle doit s'échapper.
un arc qui coupe -au point a le rayon M, qui coupe l'arc A e en deux parties égales ; que de la seconde division on mène un second arc qui rencontre le rayon II/ b , mené au point b, (iti1 coupe l'arc f2, a' en deux parties égales. Puis divisez en trois nouvelles parties égales la pre-
segrnént 8 b 7 , avec cette différence cependant
ties égales ; que de la première division on in èn.e,
mière sous-division, à partir du point A. A moyen de la règle tournante, décrivez avec la
première division un arc qui rencontre le rayon 111v, lequel divise l'arc A a' en deux parties égales f que l'arc, à partir de la seconde division , soit prolongé jusque sur la ligne 111v' qui coupe l'arc v a' en deux parties égales, ainsi de suite, on aura dans l'intervalle A e, 4 principales divisions, à l'aide desquelles on pourra
On procède de la même manière pour le tune la division en 7 et 8 se fait en ordre in-
-Verse de celle A a 1, afin que la montée par la courbe 8 b 7 coïncide avec celle de la courbe A a 1, pour produire avec les deux pistons un effet semblable à celui qui a lieu avec un seul. De cette manière on obtient une courbe 8 7 6
5 4 3 2 i a A, dont le point le plus bas ou le
commencement de la montée est en 8 et le point
le plus haut en A. Cette courbe comprenant les 7 de la circonférence du cercle, il s'en suit que pendant la révolution de l'axe, il y aura les de cette révolution employés à faire monter le piston et les restans à le faire descendre.
On peut diviser en deux parties. le tems employé par la came pour faire expirer l'air de
chaque cylindre. Dans les -1 de ce tems chaque rouleau cylindrique. On peut donc, d'après ce raisonne-
ment, en calculer les effets avec autant de facilité que si la charge à vaincre devait être élevée par un rouleau dont la circonférence serait égale à la levée qui doit avoir lieu, Soit cette hauteur b, la charge ou le poids élevé P, le rayon du rouleau dont le moment statique est égal à celui de la came r-_-r; faisant 2 r 7r.
7.
b, on aura
Si l'on
fait maintenant le rayon de la roue motrice o.0 la distance R, et le poids moteur sur la circonde l'axe à la force
férence =p , on aurap R = Pr, de là
piston agit seul, et dans le premier et le-dernier cinquièmes ils agissent tous les deux à là. Ibis; mais lorsqu'ils agissent ensemble, l'action de chacun en particulier n'est que la moitié de celle qui a lieu lorsqu'ils agissent séparément. Comme il faut une même force pour monter un poids,à une hauteur déterminée que pour monter sa moitié à une hauteur double, il est clair- -.que la somme des. deux mornens de résiStirice , au commencement et à, la fin de cliaijne expiration d'air, doit, être égale au moment de cette résistance lorsqu'uli piston -
.
P -Pe=P=,,i-iP2X3,1415X
6,283 B.°
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