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SUR LE QUARTZ CCIMMUN, Ii.011S étant au reste très-difficiles, on a peut68
être mieux fait de ne pas y avoir égard. J'ajouterai qu'en considérant la variabilité de grosseur et à laquelle les fibres sont d'ailleurs sujètes ,jusqui s'étend depuis la finesse d'un cheveuil me 'qu'à la largeur d'un tuyau de plume ; semble qu'on peut réunir sous ce même titre et partie, comme sous-variétés, dg moins pour une bacilles formes que M. Haüy nomme ailleurs laire , aciculaire , fi2amenteuse , etc. Mais passons à tin e cenfiguration subséquente, et qui est celle à quoi je dois principalement m'arrêter dans cette Notice. Quand les fibres vraies ouà parallèles , ou apparentes sont simplement présente n'est dit peu près, le minéral qui les à quoi etc. , aussi_ que fibreux ou bacillaire , conjoint, pour seulement l'épithète de on ajoute souvent l'adhésion des parties; mais fort marquer converces parties sont groupées par faisceaux complètes forment même desirradiations gen s, et autOur de quelques points qui paraissent ainsi comme des centres de formation. C'est ce qu'exprime- rautre épithète de radié, adoptée par M. Haiiy encore, et qui est synonyme du mot rayonné employé par d'autres auteurs. On connaît une dixaine au plus de substances qui offrent ce mode de texture. Une d'elles paraît l'affecter de préférence, et pour cela aussi l'a-t-on prise souvent comme terme de comparaison , c'est la mésotype ( atiàs zéolithe); les autres du moins s'Y soumettent fréquemment et avec des accidens plus ou moins notables telles la chaux carbonatée ordinaire et Parragonite , la baryte sulfatée ; l'amphibole , soit
69 FIBREUX ET RADIÉ. commun, soit actinote , soit grammatite ; la préhnite jaune, le fer sulfuré , le fer hématite, Je manganèse oxydé. Le quartz, quoiqu'il paraisse y être moins sujet, n'est pas étranger non plus à cette forme; et c'est même un des minéraux qui la présentent avec le plus de variété : imitant quelquefois, au point qu'on pût s'y méprendre , la mésotype de Ferroë , l'arragonite d'Auvergne , etc. ,selon qu'il est avec cela plus ou moins blanc , plus ou moins translucide. Quelques minéralogistes l'ont appelé en conséquence quartz zéolithiforme. Dans le Catalogue de Davila, en 1767 (t. p. 229, n". 54o, 541 ) ; dans le Lithophylaciunt de de Born, en 1772 , ( p. 21 et p. 25); dans le Journal de Collini ( p. 191 , pl. XI )fg. ) dans un Mémoire sur la Zéolithe, inséré parmi les préliminaires du grand ouvrage sur les Vol-
cans éteints du Vivarais et du Velay, par
M. Faujas , ouvrage qui parut en 1778 (p. 129) ;
dans le petit volume publié à Milan en 1779 , sur de Nouvelles Cristallisapar le P. tions de feldspath , et autres singularités que renferment les granites des environs de Baveno ( pag. 15. ); dans le Catalogue de Forster, qui parut en 1780, et qui est comme celui de Dayila pour la partie minéralogique , l'ouvrage
de Romé de l'Isle ( n". 520, 521 ) ; dans le
Règne ilinéral en planches coloriées de Dagoty (4e décade, pl. XL), par Romé-de l'Isle aussi; dans la Description faite par M. Sage, en 1784, de son beau Cabinet établi à la Monnaie (p.116 11°. 84, et voyez aussi les n"'. 33, 3 ) ; dans les Mémoires minéralogiques publiés par M. MacE3