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2e3 plans se rencontrent aussi. Il se forme donc un DE LA CRISTALLISATION.
plus fluides en auront une vers les plus fluides, 9t elles s'appliqueront de cette manière les unes
aux autres par l'attraction. Supposons que deux pareils globes A et B, 4, parviennent au contact par cette partie de leur ,surface qui est la plus solide , la secLion du plan de contact ne sera que a b ,
lieu que c'e rit été io dans le premier cas, c'està-dire , dans celui dehomogénéité. Si un autre globe Cagit en -même toms de côté , la section
du plan de contact sera cd, beaucoup plus grande que ab , parce que l'attraction eflèctive, sera plus grande en ce cas (5. 13).
Or si un tel globe est environné de quatre
autres , conformément au degré de l'aplatissement dont il est susceptible (5. 12), la direction de la section de leur plan de centact sera plus
vers n (1), , vu ,qu'à cette partie l'attraction effective est la plus grande , en sorte que leurs directions vers ce point, de même que les trois
plans de contact de ce globe , lui-même , se rencontreront dans les lignes n X, n. o et n En Même teins le quatrième globe agira sur la partie ni par son plan plus solide , de manière
qu'ici , à proportion de la plus grande résistance, le plan de contact sera moindre, jusqu'à ce que dans cet endroit les intersections de ces (1) Nous présumons qu'il s'agit ici des fig. 3 , 5 ci ; 6 ainsi que dans toute la suite du paragraphe; cependant les lettres des figures ne se rapportent pas toujours aux indications du texte. Nous croyons que le triangle ./ig. 6, est le - même que celui iL i o ,fg. 5, et que le point {l'oit partent trois rayons aux trois angles de ce triangle , doit porter la
.lettre x. ( Note des Rédacteurs.)
tétraèdre (fig. 6), dont la base est un triangle , mais dont les plans latéraux sont des triangles isocèles , égaux et semblables. Plus le point x tombe vers iii, moins la hauteur du plan de fa base sera considérable, en comparaison de celle des plans latéraux ; et quand x est très-rapproché de iii, en d'autres mots , quand les parties ont presque acquis ici une entière solidité, pendant qu'au point opposé, et elles sont presque toutes fluides, dans ce cas le tétraèdre affectera la forme aciculaire , et sa réunion produira des cristaux aciculaires et des corps fibreux. Cette cristallisation est celle de la glace, et probablement par cette seule Aison que le calorique étroitement uni à l'eau, n'est enlevé que fort inégalement aux molécules de cette dernière par la température extérieure devenue plus basse ; en sorte que sur un des côtés plus contigu à l'air il y a déjà une solidité presque parfaite , pendant que du côté opposé, la liquidité n'a encore que peu décru. D'oct il suit que si le froid enlevait à l'intérieur- le calorique à l'eau, comme à une substance homogène ( également fluide ) , au même degré en chaque instant de teins ( ce qui arrive peut-être à de petites portions d'eau dans un très-grand froid) qu'il le lui enlève à la limite extérieure, la glace prendrait le tétraèdre régulier pour la molécule intégrante dans ce cas, elle formerait un corps très-solide et cristalliserait en octaèdre régulier. Plus le point x avance vers n , plus le tétraèdre se rapproche du régulier. Des différens rapports de o In et n o, résultent des formes-
'équilatéral
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