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LA SIDROTECIINIE les meilleurs ; il traite ensuite des procédés qui peuvent être appliqués indistinctement aux trois espèces dé fonte; enfin il f'att connaître ceux que l'on doit regarder comme défectueux, et indique les plus avantageux, selon les lieux et les circonstances. Plusieurs métallurgistes regardent le manganèse comme
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une substance essentielle à la fabrication de l'acier defforge:
M. l'Inspecteur discute cette question, et prouve, par une suite de faits positifs, que le manganèse n'est pas nécessaire à la fabrication de l'acier. L'acier fondu étant aujourd'hui celui sur lequel paraît se
porter l'attention des Français, l'auteur a donné, avec beaucoup de soins, les diverses-manières de l'obtenir, soit >avec de l'acier cémenté, soit avec du fer, soit avec de la fonte. il a fait connaître, sur ce travail, tous les procédés suivis en Angleterre et en Franco, pour obtenir -Les deux espèces d'aciers fondus, désignés dans le commerce sous les -noms d'aciers Marschall et Huniznzann. Nous devons aux travaux et aux recherches des Francais deux sortes d'aciers fondus très-précieux clàns les arts ; l'aMer fondu soudable , et l'acier fondu qui se durci t sans être trempé. L'auteur a rapporté tout ce que nous connaissons sur ces deux sortes d'aciers. Dans les Pyrénées et dans quelques usines d'Allemagne, son obtient l'acier de forge en traitant directement les minerais de fer dans une seule préparation. M. Hassenfraiz a donné , dans le chapitre III, les diverses méthodes employées pour obtenir de l'acier de cette manière ; et il fait eormaitre le petit changement que l'on introduit dans les procédés, suivant que l'on veut obtenir du fer onde l'acier. Les machines et les instrumens qui servent à comprimer le fer et l'acier étau t les mêmes ,l'auteur a passé de suite à la manière de forger l'acier. Il a traité séparément. de la compression de l'acier forgé, de l'acier poule, et de l'acier fondu ; il a établi les différences qui exister, t dans les procédés que l'on emploie, ainsi que les raisons qui les nécessitent. 11 est assez généralement reconnu que la trempe est une des .prineipafes opérations qui produisent la qualité de l'a-
OU L'ART DE TRAITER LES MINERAIS,
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en e les effets qui en résultent ; puis'il divise :celachapitre trempe en
trois articles : 10. de lâtrempe simple ; 2°. de paquet.; 30 du recuit.Dans l'article qui a:Pour objet la trempe simple, l'auteur donne toutes les manières de tremper, les substances diverses dans lesquelles on trempe le plus ordinairement, ainsi que les températures que l'on donne à l'acier ; il indique ensuite les autres substances dans lesquelles on peut encore tremper l'acier, et les effets que produisent chacune de ces trempes ; enfin, il fait connaître les moyens de distinguer les trempes que l'on doit préférer, relativement à l'acier que l'on emploie, et à l'usage auquel on le destine. Comme les aciers se voilent ordinairement en les trempant , M. l'Inspecteur-divisionnaire examine les causes qui produisent les voilures , et indique les moyens qu'il fout prendre pour les éviter, lorsque cela est possible. En parlant de la trempe en paquet, il fait connaître diffé Tentes substances avec lesquelles on composeles cernons ; discute les effets que ces substances doivent produire. Ce chapitre est terminé par le recuit.
Recuire, c'est dans beaucoup de circonstances, faire rétrograder la trempe. En examinant cette question sous le rapport de son utilité , l'auteur indique les moyens d'ai), précier les diverses températures qui sont nécessaires. Chaque acier ayant des propriétés qui le rendent propre a clilférens usages, un chapitre essentiel dans cette section met à Même d'apprécier ces usages, ainsi que les caractères auquels ou peut reconnaître ces aciers. Ce chapitre devient précieux en ce qu'il fournit aux ouvriers les moyens de choisir à l'avance l'acier qui leur convient , et qu'il contribue à détruire un préjugé sur la qualité des aciers de -France. Avant de verser les aciers dans le commerce , on leur fait subir différentes préparations, on leur donne des formés particulières on en fabrique divers objets. M. Hassenfratz a choisi, dans le grand nombre d'usines qui emploient de l'acier, Celles dont le travail peut encore augmenter nos connaissances sur les propriétés de cette subs-,tpaintrce e.Ce'ersotucertagteeré.union de détails qui forme le dernier cha-
cier. Le chapitre VIII traite de cet objet. L'auteur fait d'abord connaître en quoi consiste la 1,renapc,
traite de la -bijouterie d'acier, de la fabrication
des