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Sun LES PROCÉDIS BMPLOYLS 404 enfin , contient ordinairement 700 quintaux
métriques de minerai.. Le feu se met par la cheminée, et gagne de
proche en proche ; lorsque le lit de bois est nad é , et que l'on a réparé les dérangemens que l'affaissement a produits dans la couverture la-
térale, il n'y a plus rien à faire aux grillages
AUX MINES DE PLOMB DE VEDRIN
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ne s'élève guère au-delà d'un demi pour cent ; les grillages en minerai fin ne donnent point
de soufre distillé. La durée des grillages est communément de six semaines 'pour ceux en gros morceaux, et de huit semaines pour les grillages en fin.
en minerai fin, qu'on laisse aller d'eux-mêmes,
Quand les grillages sont froids, on les démonte ; ordinairement, après avoir enlevé la couverture, on ne trouve 'guère qu'une épais-
de o'n.,9 de résidu d'ancien minerai grillé et lavé. Pour les grillages en gros minerai, on a à recouvrir, au bout de huit jours de feu, le sommet du grillage d'une couche de om-,12 de résidu d'ancien minerai grillé et lavé, en lui faisant former
seur de om.,1 8 de minerai tout autour et dans le haut, que le feu n'a pas suffisamment attaqué ; le reste est bien grillé, et on le sépare en deux
excepté quand ils deviennent trop gros à la partie supérieure, auquel cas on les recouvre
rebord tout autour ; puis, quand cette couche
commence à présenter un coup d'oeil gras, à former dedans des trous demi-sphériques. Au boit
de quelque teins il s'accumule dans ces trolls
du soufre liquide que l'on puise à. mesure, et que
l'on verse ,dans un seau rempli d'eau ; si les trous prennent feu, on les remplace par d'au-
tres. On est averti que le soufre va s'enflammer dans les trous, lorsqu'il y devient très-visqueux; dans cet épaississement , il ne change point de nature ; il a une couleur aussi belle que s'il étoit liquide , et il suffit d'une diminution de chaleur pour le ramener à cet état ; car, si l'on mêle ensemble du soufre devenu visqueux pailla chaleur, à du soufre liquide, tout redevient liquide. On observe que la quantité de soufre obtenu des grillages en gros morceaux, varie avec le
parties, l'une de fin et l'autre en morceaux ; le lin se lave, et le gros se pile et se lave, après quoi ils sont tous les deux propres pour la fonte. Le fiu est le plus. riche , et l'on remarque surtout, dans les grillages en gros morceaux se rencontre en plus grande abondance vers le sol du grillage. Ce qui n'a pas été bien grillé reste pendant quelque teins exposé aux intempéries de l'atmosphère, et on en fait ensuite deux parts , l'une de fin et l'autre de gros, que l'on regrille chacune isolément à la manière des
minerais neufs, en ayant soin seulement de forcer un peu plus la proportion de charbon..
Quelquefois, lorsqu'on est pressé de minerai la partie fine du minerai mal grillé se- passe à un fourneau de réverbère à sole plate, alimenté par de la houille, où on le tient échauM pen-: dant deux heures. On pile et on lave ce qui sort des deux grillages, comme pour les minerais grillés une fois.
tems qu'il fait ; on en retire d'autant plus que la pluie est moins fréquente ; mais le produit
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