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SUR LES _4C.d.RIES DE RIVES
ET 1317 DIPARTEMENT DE L'isi'ArÈ
communique au grand arbre horizontal qui
- un mentonnet que viennent soulever des cames
quart de sa circonférence : ainsi., au disposition des deux derniers bras de levier;,: moyen-4la l'un des tirans verticaux ,.et par . conséquent
meut derrière les soufflets. Ces carnes sont tellement disposées , qu'un des soufflets s'élève lors-
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décrit , soit en allant, soit en revenant, le
l'un des soufflets s'élève , ,4ndi_sque l'antre
s'abaisse ,.pat le propre pogda caisse:Mo bile : par là , on a, un ventpresque contipu nous disons presque, car -ils y a.,
léger intervalle entré l'aspiration: et tion , et cet' intervalle est un incOnvénient, qu'qp a cherché à détruire, en,;employant 'les soufflets doubles.
.mécanisme Ceux-ci sont mus par le que les precedens.;, ils eri, diffère-11:c en ce que leurs deux caisses .sont mobiles : .par, seul de ces soufflets fait l'office de deux simples ; leur construction est aussi, plus coûteuse, et ils
sont plus sujets aux réparations , c'est ce qui fait qu'en somme leur emploi est plus ,dispendieux , et,. que les. maîtres ,deforg,es préfèrent en général les soufflets simple. Aujourd'hui on ne trouve des soufflets. dotïbles que dans une forge ; le modèle en a été pris à SaintBel ,; leur levée est très-peu considérable , et sous tous les rapports , ils sont au-dessous des soufflets &mples ;.mais un de,leurs avantages, est d'occuper moins de placé dans l'usine. Nous n'entrons pas dans de: plus grapds;details , car leur emploi est très-borné jusqu'à:présent , et il est probable qu'il ne s'étendra pas davantage. Les soufflets ne sont pas toujours mus de la manière que nous avons décrite ; on en trouve dans quelques forges ( aux environs de Voiron), qui portent à l'ex.trémité, de, leur caisse mobile ,
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implantées dans un arbre horizontal, qui se
que l'autre s'abaisse. Ce mécanisme est moins sujet que tout autre à des réparations, mais on ne peut l'employer que dans les lieux où l'eau; assez abondante, permet de diviser le courant. La vitesse des soufflets est telle , qu'il entre
par minute , de 18o à 200 ps. d'air dans le foyer, quantité beaucoup moins considérable que pelle qui est nécessaire pour une affinerie de fer, dont, le foyer n'est que la moitié de celui d'une aciérie. La raison de ce fait, est que, dans ce dernier
cas, l'air doit brûler le charbon de la fonte, ce qui ne doit pas avoir lieu dans la fabrication de l'acier. §.III. Du martinet, et de son moteur.
Martinet. La forme de la tête du martinet est celle d'un parallélipipède allongé, qui s'amincit vers son extrémité inférieure, et y prend la figure d'un coin. Cette masse est en fer forgé, à l'exception de la partie inférieure qui doit être plus dure, et est en acier ; elle est fixée solidement à un arbre qui. la traverse, et qui lui sert de manche; celui-ci repose par deux tourillons en fer dans deux crapaudines de cuivre, logées
dans deux jumelles, ou fortes pièces de bois verticales. Les tourillons s'élargissent en bandes,
et viennent enfermer, en formant un anneau, le manche du martinet qui se prolonge jusqu'à l'arbre armé de cames; cet arbre est celui d'une roue à palettes qui le fait mouvoir. Le nombre des cames varie avec la longueur du manche