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SUR LES ACIÉRIES DE RIVES, etc.
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instruits pour remplir la place qu'il aurait à donner dans sa fabrique; qui présideraient aux concours des apprentis ; distribueraient des ré-
a
MÉMOIRE
compenses pécuniaires ( tirées d'une bourse commune ) aux ouvriers les plus intelligens et régleraient enfin tout ce qui peut tendre à
Sur les Vases murrhins qU'on apportait jadis en Egypte , et surceux qui s'yfa briquaient.
l'amélioration des fabriques. Ceci au reste , n'est qu'un simple aperçu , fourni par un maître de forges ( M. Blanchet de la Guillonnière ) , qui détaillerait, eu était besoin, ses vues dans un 'Mémoire parti-
Par M. DE ROZ
, Ingénieur en chef au Corps Royal des Mines.
culier. T. C
LES Romains ont tiré de diverses contrées dé
l'Orient, et particulièrement de l'Egypte , des
vases très-célèbres dans l'antiquité, sous le nom .
de vases murrhins. Ces vases étaient de deux
sortes. Il est constan t que les uns se fabriquaient en Egypte , et c'étaient les moins estimés ; les
autres, beaucoup plus précieux, y étaient apportés de divers pays, principalement de la Perse et du pays des Parthes. On n'a encore pu découvrir de quelle matière les uns et les autres étaient fabriques , quoique
ces recherches aient singulièrement exercé la sagacité des antiquaires. Il nous a semblé qu'il
pourrait être curieux de dissiper les obscu-
rités qui environnent depuis si long-:tems cette question ; et elle avait d'ailleurs trop de rapports avec les travaux que nous avons entrepris sur l'industrie et les connaissances minéralo-
giques des anciens peuples qui ont occupé
l'Egypte , pour la négliger .éntièrement. Nous
nous proposons donc, dans ce Mémoire, de MÉMOIRE
déterminer d'une manière précise la nature des deux espèces de vases. Volume 36, n°. 213.
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