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jrmiçti G-501.0GIQUE
trickland2, à 6o d. 4o' ; l'orme et le tilleul jusqu'à Haniranger,, à 6o d. 55' ; le frêne, près du fleuve Niurunda , à 62 d. 15' ; le saule, à Sundsvall , à 62 d.- 23' ; l'érable , prés du fleuve d'An.german , à 62 cl. 49' ; le rubus articulus (ak.er bar ) , à Ofver Tornéa , à 66 d.
le sapin, à Sanga Mutka , près du , à 68 d. 12 , et 779 pieds de Paris au-dessus de la mer ; le pin, jusqu'à Leppajervi , 1247 pieds de Paris au-dessus de la mer, à la latitude de 68 d. et demi. 20
fleuve Muonio
Examen des roches qui constituent les diverses sor-
tes de4errains.
Le bouleau ne cesse de croître qu'au nord de Kautokeino , dans la Laponie Norwégienne , sous la latitude de 69 d. , et près de 1700 pieds de Paris au-dessus de là mer. Le terme de la neige permanente à Talvig en Norwège , sous le 70 d. de latitude, est à 33oo pieds de Paris au-dessus du niveau de la mer (i). Telle est, en général, la forme extérieure de notre pays. Il nous reste maintenant à examiner les matériaux qui le composent ; ce sera l'intérieur des montagnes, et les couches de terre qui feront l'objet de notre examen. En considérant les parties dont ces dernières sont
composées , nous nous convaincrons , sans peine, qu'elles ont été dans le principe dépo-
sées par un dissolvant commun , mais que dans
la suite la surface a été élaborée, et que le noyau primitif a reçu des enveloppes diffé-
rentes , premièrement, d'un mélange de précipité chimiqueeet de dépôts mécaniques ; et - en dernier lieu, uniquement de ces derniers dé
pôts. En effet, autant que nous pouvons pé ) Voyage e.p. Norwège et en Laponie, tom. 2.
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SUP. LA SUD. .
nétrer dans l'intérieur de la croûte, à la vérité peu considérable par rapport au diamètre de la terre, nous trouvons par-tout une masse homogène de feldspath, de quartz et de mica, d'une agrégation cristallino - granuleuse, qui a reçu le nom de granit. Celui-ci, comme plu- Distincsieurs autres masses d'une structure plus ou 22tteamoins feuilletée qui lui sont superposées , les roches comme le gneiss , le schiste micacé, le schiste (floencluiavjosness argileux , la pierre calcaire primitive , -etc. est entièrement formé de précipitechimique et a eu son existence avant le développement
de la nature organique, dont les restes ,ne se trouvent jamais engagés dans leurs agrégats.
En conséquence, ces formations ont été nommées primitives. Au-dessus de celle-ci, nous en trouvons encore une autre classe , formée de mélanges de précipités chimiques et mécaniques, dont les derniers proviennent des parties de roches, ou de cette classe, ou de la,précédente. Les restes et les empreintes d'animaux et de végétaux sont , dans ces formations, plus ou moins communs. Les plus anciennes d'entre elles, ou celles qui reposent immédiatement sur les montagnes primitives, et qui, pour la plupart, sont formées de précipités chimiques ; et des restes organiques d'espèces
perdues ou qui n'existent plus, ont reçu le nom de roches de transition, pour les distinguer .des roches secondaires; dans lesquelles le mélange mécanique est plus facile à reconnaître, et où les restes du règne animal et vé-
.géta.1 sont une réunion d'espèces qui ont disparu,
et d'autres qui existent encore. Mais souvent cette distinction rencontre des difficultés 1.1. 3