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SUP.. LES MINES DE norili..1.Ë.
DE FRANCE.
tement de la Loire, revenant à un prix pluà élevé. On assure, au contraire, que dans les ports d'Angleterre , les- secondes qualités de
fabrication , en opérant , soie dans le même teins, soit dans un teins un peu plus long. Mais ce serait une erreur complète de supposer que,
houille grasse ont beaucoup de:peine à soutenir la concurrence des produits &Newcastle ,
et qu'or est obligé de leur donner, pour la
plupart, une autre destination.: que la forge. Leseauses.d'infériorité réelle que nous avOnS des ch, signalées, n'influent pas d'une manière, à beaubon s maigres de pre- coup près , aussi notable sur la qualité dé nos 1"ié,re q"... charbons maigres destinés à.-la guille. Le dolité dans lés ndnes souterrain de la France est si riche én. France. excellentes sortes de ce genre, que nous nous dispenserons de citer aucune des nombreuses exploitations auxquelles personne ne s'aviserait de .contester la faculté de rivaliser de qualité avec les meilleurs charbons de grille - an( Rappelons, pour prévenir toute Object,dais. Abondance
.
'fion. contre une telle assertion, qu'il est un petit nombre d'usines où le charbon do grille n'est pas toujours dut charbon maigre , .
Souvent du charbon gras-. Ces usines sont
dans lesquelles il faut un coup de feu trèsvif, soit pour exécuter, soit pour terminer lerS.-opérations. Explication
de l'avant, ge qu'il y
Expliquons maintenant ce ,quql faut en-
tendre par i.e désavantage de cinzi et dix pour
et même plus, qu'une partie dé Charbons français- de toutes sortes peuvent réellement présenter, lorsqu'on las emploie cornparativement aux charbons anglais de sortes
aurait à em- cent le)/1,°,r0 n'Ise s
nnglais
amisis , de charbons cais qui u e
correspondantes. Cette expression signifie simple.ment , qu'en employant les premiers, on en
le sont pas. coh5011,11Derilit des quantités un peu plus con_ sidéra:1)1es pour obtenir les- rnr.unes résultats dc
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dans aucun cas, le résultat des opérations dût être moins parfait. Pesons sur cette dernière consiiération , car elle est importante. Portons seulement nos regards sur les ateliers quiravrent la fonte, le fer, et l'acier dans l'étendue du royaume. La grande perfection de leurs produits , depuis vingt ans, n'est pas équi-
Qualité des houilles grasses employées de tout sema
munément qu'on est parvenu à l'atteindre
on consomme les meil-
voque, mais étonnante. Cette perfection surprendrait bien davantage, si l'on savait coin-
dans les .' ateliers de France où
en employant, presque par-tout, des charbons français de seconde qualité. La coutellerie, taillanderie , se confectionnent à Thiers, avec la houille du Puy-de-Dôme ; à, Moulins, avec celle de l'Allier .; à Châtellerault, avec celle de Maine-et-Loire. La serrurerie d'Ecarbotin. brûle que de la houille des mines du Nord. A Paris, la taillanderie, la coutellerie-, la fabrique des instrumens les plus délicats pour l'horlogerie et la chirurgie, la serrurerie-, le travail si parfait de l'acier poli, ne consument que des charbons mêlés, apportés par la Loire. Les grandes. manufactures d'armes de Tulle, dans la Corrèze , de Mutzig , de Klingenthal dans le Bas-Rhin, de Charleville et de Maubeuge., s'approvisionnent aux mines respectivement voisines. Enfin, dans la manufacture royale et centrale de Guérigny, , département de la Nièvre, les ancres dela-marine militaire, pièces
leures sortes.
si volumineuses, si. difficiles- à travailler, et dont-
la bonne confection est si essentielle , sont fabriquées avec la-houille de la Loire, à laquelle.