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sun UNE LOI , etc.
dont j'ai parlé au commencement de cet article. Les formes clans lesquelles leur influence disparait, et qui sont de beaucoup les plus nombreuses, attestent par elles-mêmes, indépen-
damment de tout résultat de division méca-
nique et de toute mesure d'angle, que la forme primitive est un prisme bblique ; et les autres formes soumises à l'influence dont je viens de
parler, ne font autre chose qu'indiquer de même à l'observateur, dès le premier coup
d'oeil , une vérité faite pour l'intéresser sans le
Constitu-
surprendre ; c'est que la forme primitive partage
Àon géolo-
- igue.
avec les autres du même genre ces propriétés qui ramènent leurs dimensions à des limites doublement remarquables, soit eu elles-mêmes, soit par la manière heureuse dont elles peuvent s'allier avec la loi de symétrie, pour imprimer aux résultats des décroissemens tin caractère de régularité que cette loi n'exige pas (1). (s) Le seul cas où il pourrait y avoir équivoque serait celui dans lequel les cristaux d'une espèce jusqu'alors inconnue , qui s'offriraient à l'observation, et dont la forme primitive serait un prisme oblique, auraient la même configuration dans leurs parties opposées. Mais, outre que les cas de ce genre doivent être fort rares, il résulterait seulement de l'hypothèse que je viens de faire, que l'observateur serait obligé de recourir à la division mécanique, pour dissiper
l'incertitude que l'aspect de la forme extérieure tendrait à faire naître.
4eavAlidevieze.f,
2.21