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ESSAI G.EOGNOSTIQUE
uterschieffer und tkonschieer) forment, autour de l'espace occùpé par le gneiss , rine
sun L'ERZGEBIRGE.
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devine plutôt cette disposition du porphyre , qu'on ne peut la. reconnaître d'une manière
espèce de ceinture , ainsi que nous. le verrons rcciivr ut toutà-rheure ; mais on ne les rencontre point dans l'intérieur. Dans tout ceti nterieurcsbneiss le gn,rigs 4,n, Pinté- constitue seul la masse des montagnes, et n'est rie,dep,
évidente. M. de Ilaumer pense iné'me ( pages 23
Occupe.
contraire est généralement reçue ,.et la position des porphyres , qui forment toujours les som-
Rochescpti
paye qu'il
Porphyres.
Porrlures
COMM..
recouvert que çà et là par des porphyres , et dans ph seul endroit par des grès.
Ces porphyres sont de trois espèces ; le porphyre commun , le porphyre syénitique , et le porphyre gris à anthracite de Schanefeld.
couzinursn égard à leur ex,
trême abondance dans le Nord de l'Alle-
magne les porphyres désignés sous les noms de r.:sdfre,violdire et brun-rozzgc,par B rori, guiart (Journal des Mines , no. 199 , page 4i ). Cette roche est très-répandue dans tout l'Erzgebirge, où le plus souvent el le est reg-ard ée comme
reposant en gisemen t diffrent et transgressil(i) (abweichende iib ergreijje. ride Lagerung.), tant sur le gneiss que sur les phyllades. Il est à remarquer, cependant, que les montagnes de ce pays présentent si peu d'escarpemens, que l'on rendre aujourd'hui à la science. A défaut d'expressions publiées que je pusse adopter, j'ai essayé, après avoir consult MM.- Héron- de-Villefosse. et Brongniart , de rendre en français , de la manière qui m'a paru la plus convenable les expressions allemandes. La langue a Itemande , très-riche à cet égard, a été créée et fixée par M. Werner.
(i) Le gisement est différent ( abweicbend) quand la
roche superposée a une stratification et une inclinaison différentes de celles de la roche qu'elle recouvre. Le giSement est transgressif (übergreiffimd) quand la roche superpo ée reconyre les tranche "ou l'affleurement des couches de la roche inférieure.
et 29 de son ouvrage déjà cité ) que beaucoup de ces porphyres pourraient bien former, comme le quartz, des bancs puissans dans le gneiss au-
quel. on les croit superposés ; mais l'opinion
mets (kurpe) des montagnes de gneiss, sans jamais se montrer en place dans les vallées, la
forme de ces plateaux porphyriques, qui ne sont en général pas plus étendus dans le sens de la direction des couches du gneiss, que dans
tout autre sens, et leur disposition tout-à-fait irrégulière, les uns par rapport aux autres, me paraissent rendre cette opinion beaucoup plus vraisemblable. Quoi qu'il en soit, dans l'espace
de terrain compris entre Freybeig , Sayda, Lauenstein , Maxen, et Tharanat , ces porphyres constituent le sommet d'une grande quantité de montagnes dont le gneiss forme la base. On peut souvent reconnaître de loin
ces montagnes à l'aspect : elles ont une forme analogue à celle des collines basaltiques , et le cône supérieur, formé par le porphyre, se détache , par ses pentes assez raides des pentes douces du gneiss situé au - dessous. Ordinairement, dans ce cas, le. sommet présente des rochers escarpés de porphyre, et quelquefois ces rochers ont, au premier abord, un aspect qui rappelle celui des rochers de quartz mentionnés plus hait ; ailleurs , aucun indice ana-
logue ne trahit le changement de nature du
terrain ; mais, en montant et descendant alter-