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A FREYBERG.
TRAITEMENT MÉTALLURGIQUE DES MINERAIS
40 tonnes
de scories plombeuses et 5',70
de matte
2e 'grillée.
On a produit 18 tonnes de plomb d'oeuvre, tenant 65',7
d'argent; 3o tonnes de matte 3e cuivreuse avec une teneur en cuivre de 20 à 23 p. too, et enfin des scories analogues à celles de l'opération D, assez pauvres pour être rejetées.
Le plomb d'oeuvre va à la liquation, et la matte à l'opé-
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La sole est de forme sensiblement elliptique. Les principales dimensions, en plan, sont les suivantes Longueur de la sole. 3',68 ( 3') Largeur de la sole près du pont (h' 2") Largeur de la sole près de la porte de travail. o ;53 (i' q") Largeur de la sole vis-à-vis le trou de coulée. 2 ,26 (8') Côté de la chauffe I ,15 (4') . Largeur du pont o ,71 (2' 6")
ration G. On a consommé 418 hectolitres de coke, pesant 15',952, soit I oo kilogrammes environ par tonne de scorie plombeuse.
La profondeur de la chauffe est de o"',66 (2' 4") au-dessous de l'arête supérieure du pont. Sur les plaques de fonte qui forment la base de la sole
La main-d'oeuvre, rapportée à la même unité, est de
et sont constamment rafraîchies par un courant d'air, est
°journée
posé un lit de briques réfractaires, puis une couche formée OPÉRATION G.
La matte cuivreuse est grillée aux kilns , après cassage ; puis une partie va aux stalles, de façon à conserver le soufre nécessaire .à la production de la matte 4e; l'autre partie, la plus grande, est bocardée, et subit un grillage plus avancé dans des fours à réverbère à deux soles. Ces fours sont analogues à ceux décrits pour le grillage des minerais. Le travail y est le même ; la seule différence consiste en ce que la température y est moins élevée ; on ' risquerait autrement de fondre la matte avant qu'elle ne soit complétement grillée et d'arrêter ainsi les progrès de l'oxydation. Comme conséquence, la consommation de com-
bustible est réduite de moitié environ.
d'un mélange d'argile réfractaire et de quartz et enfin la sole proprement dite, faite, comme nous le verrons plus loin, d'un mélange de quartz et de scories concassées.
La profondeur de la sole au-dessous dit pont est de om,28 (1').
Le petit côté du four opposé à la chauffe présente l'ou-
verture de travail, qui est carrée, et dont le côté est de om,28 (1'). Elle se ferme au moyen d'une brique réfractaire, maintenue dans un cadre en fer, qui se manoeuvre par un
levier à contre-poids. Immédiatement en avant de cette ouverture, à un niveau légèrement plus élevé que son bord inférieur, se trouve une barre de fer destinée à soutenir les outils pendant le travail.
L'une des faces latérales du four présente le trou de OPÉRATION I-L
Cette opération (das Spuren des Kupfersteines) a pour but l'enrichissement de la matte cuivreuse et l'élimination d'une grande partie des métaux étrangers, principalement du fer. Elle se fait dans un four à réverbère anglais, qui est,. à quelques différences de détail près, l'ancien four de refonte des scories.
coulée de la matte.
Sur l'autre face, on trouve, outre la trémie de chargement de la chauffe, une seconde ouverture, située en face le trou de coulée, généralement fermée par une plaque de tôle lutée pendant le travail, et qui ne sert qu'aux réparations.
Le rampant est immédiatement au-dessus de la port