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Je passerai actuellement à l'étude des modifications que l'on a fait subir à l'invention de M. Guinotte, et commencerai par discuter la valeur à donner à l'élément y. On a pu reDe la manière de déterminer l'élément y. marquer qu'étant donnés les éléments du tiroir principal et la quantité y, la distribution de M. Guinotte est, à peu de chose près, déterminée. Cette quantité y n'est autre chose que l'élément du taquet correspondant au recouvrement extérieur du tiroir. Tel que l'emploie M. Guinotte, c'est plutôt un découvrement.
Nous savons choisir les éléments du tiroir principal. Quant à y, nous avons réservé jusqu'à présent l'exposé des considérations qui doivent servir à le déterminer. M. Guinotte, en effet, ne s'est pas prononcé sur cette question, et les résultats de l'étude qui va suivre, dus à M. Pichault, sont en désaccord avec la valeur que M. Guinotte donne en général à cet élément.
La fermeture des lumières du tiroir pour un degré de détente déterminé est représentée géométriquement par l'intersection de deux cercles : le cercle polaire relatif
cercles polaires relatifs. Pour un degré de détente déterminé, le cercle polaire relatif est tangent en 0 à la direction de la manivelle pour laquelle l'admission est coupée, et le rayon de ce cercle ne dépend que de la largeur à laisser au passage de la vapeur. Afin de nous bien rendre comee des avantages dus à ce choix de y, nous avons comparé sur le diagramme les effets o et pour une valeur de y égale à la luobtenus pour y
mière du tiroir, valeur qui, on l'a vu, diffère peu de celle que M. Guinotte lui assigne en général.
Nous avons supposé au tiroir de distribution les éléments admis dans les précédentes études. Lumière Recouvrement extérieur.
- Recouvrement intérieur
.Avance à l'admission. Excentricité
. ........
une admission de
y = o.
Or, cette réouverture ne peut se produire que lorsque 0), et 0),` (fig. 1, PI. II) se trouvent du même côté par rapport 0111!, position de la manivelle pour laquelle la lumière principale est fermée. En prenant y o, ), et se confondent ; 0), et 0),' sont par suite à 1800 l'un de l'autre, et dès lors toute possibilité de réouverture des lumières est écartée, quels que soient d'ailleurs le degré de la détente et la direction que l'on donne à la ligne des centres des
0,01
.
.
.
.
0,00 0,004 o,o5
0
La vitesse de fermeture des lumières est maxima, le
diamètre du cercle polaire peut descendre à J'A
choses égales d'ailleurs, est d'autant plus grande que y est plus petit. Il semble donc naturel, au point de vue du
laminage de la vapeur, de prendre y = o, à la condition toutefois que ce choix ne favorise pas la réouverture des lumières du tiroir (fig. 6, Pl. III).
0,04
Voici maintenant les résultats de cette comparaison pour
correspondant à ce degré de détente et le cercle de rayon y.
Il est évident que la vitesse de cette fermeture, toutes
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SYSTÈME DE M. L. GUINOTTE.
MACHINES D'EXTRACTION.
y=
On augmente un peu le frottesans inconvénient. ment par suite des dimensions plus grandes que l'on donne au taquet. L'avantage est de réduire les dimensions A centimètres. du taquet et, par suite, les frottements. Pour un diamètre polaire relatif de h centimètres. il y a encore réouverture. En prenant ce diamètre de 5 centimètres, la vitesse de fermeture est encore bien faible.
Le déplacement relatif du taquet et, par suite, les frottements augmentent en raison directe de ce diamètre.
En contruisant un autre diagramme pour le cas d'une