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SYSTÈME DE M. L. GUINOTTE.
MACIIDNES D'EXTRACTION.
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mauvaises conditions. ne pourra se faire que dans de fort de curiosité.. la cite-il qu'à titre Aussi M. Guinotte ne de l'un des cerSupposons y = o, et soit 01 le diamètre d, 0 et l trois pacles polaires relatifs (fig. 8). Menons par celle à donner à rallèles équidistantes, leur direction sera des centres des excenla ligne des centres pour que le lieu triques passe par le point 0. pareille 'disLa fig. 8 montre clairement que dans une détentes. Les détribution on ne peut obtenir que de fortes sont entièrement tentes faibles et l'admission complète sacrifiées.
nous trouC'est dans l'emploi de l'orifice central que En verons la meilleure solution de ce cas particulier. (fig. 8) trois parallèles équidismenant par dO, et verticale. Supposons tantes, leur direction sera presque absolument. Les que la ligne des centres soit verticale favorisées, mais on détentes fortes seront un peu moins pourra encore fort bien réduire
l'admission à , ce éini
lieu des centres des est bien suffisant dans la pratique. Le excentriques aptes à conduire le taquet à orifice central se confondra alors avec OY. permet de Cette circonstance, qu'il sera aisé de réaliser, du mécaréduire considérablement le nombre des pièces nisme distributeur. coulisse mobile Joignons MD (4. o) et conduisons une OF, dont le centre autour d'un point fixe par l'excentrique coulisse de. déCette coulisse sera la F se trouve sur MD. tente. principal, nous Pour obtenir le mouvement du tiroir par la tige du nous servirons d'un levier mfd actionné en m à fond piston, et en f par un coulisseau qui est toujours à cet effet, doudans la coulisse de détente, laquelle est, ble comme celle de Polonceau.
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Le point d de ce levier choisi de manière à satisfaire la proportion 'fd
FD
mf
MF
sera apte à conduire la tige du tiroir principal: On renversera le sens de la marche en transportant le coulisseau de; distribution y à l'autre extrémité de la coulisse. Nous pou-
vons remarquer aussi que lorsque le coulisseau de détente y' se meut de y en y', l'admission variera de o à ipour l'un des sens de la marche, de i à o, au contraire, pour l'autre sens de rotation.
Cette solution, indiquée par M. Pichault, est remarquable par la simplicité de sa disposition cinématique. Avec une seule coulisse et un seul excentrique, nous obtenons une distribution presque aussi avantageuse que les
meilleures que nous ayons étudiées, car il faut tenir compte des pertes que les articulations nombreuses produisent quant au frottement et à l'entretien. Application du système de iii. Guinotte aux locomotives. Nous avons déjà fait remarquer précédemment que la solution de M. Guinotte était applicable aux locomotives. Les fig. i et 12 donnent une idée de la distribution de la locomotive de Marcinelle et Couillet exposée à Vienne en 18'75. Les lignes pleines représentent plus particulièrement le mécanisme distributeur. Les lignes pointillées représentent les pièces dont l'ensemble constitue l'appareil servant à faire varier la détente.. Le diagramme de cette machine se construirait avec la même facilité que ceux de Kladno ou de Ronchamp. Quelles que soient les qualités du système de détente de M. Guinotte, il est bien peu probable qu'il ait beaucoup d'avenir dans ce genre de machines, déjà fort compliquées par elles-mêmes et dans lesquelles on préfère employer un appareil distributeur moins économique en principe mais