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SYSTEME DE M. L. GUINOTTE. MACJIINES D'EXTRACTION.
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dépens de ceux qu'il produit lui-même en se mouvant sur le tiroir principal. Soit encore d la valeur du plus grand diamiètre polaire relatif. Cette valeur sera la même, quel que soit le genre chacun d'eux de taquet que l'on adopte, pourvu que dans on ait y O. Soient aussi (fig. 7, Pl. III): la distance des bords internes des deux lumières du tiroir principal ;
a la lumière du tiroir du tiroir à orifice x la longueur à donner à chaque moitié central.
L'admission de vapeur par la partie postérieure du tiroir à orifice central aura lieu par un déplacement du tiroir égal a. On doit donc avoir > d, x
x> a + d. Précédemment, nous avions trouvé que le taquet ordinaire à découvrement nul devait satisfaire l'inégalité
1>d
a,
+ 2a > d ±
(fig. 6)
x> a + d.
la même On voit que la dimension minima du taquet est à orifice dans les deux cas. Cela devait être. Mais le taquet parties dont l'ensemble a une central se compose de deux ordinaire à découvrement surface double de celle du taquet nul. Les pertes dues au frottement du taquet sur le tiroir principal sont donc théoriquement doublées, et en pratique ce rapport ne sera pas bien éloigné de la vérité. Il va sans dire que l'emploi du tiroir à orifice central
fonctiondoit être absolument proscrit dans les machines
nant à une détente notablement supérieure à la moitié de la course du piston. Cas particulier où la coulisse de détente oscille autour d'un point fixe. Ce cas remarquable pourra être réalisé toutes les fois qu'on pourra faire passer par le point 0 le lieu des centres des excentriques aptes à conduire le taquet dans son mouvement absolu. Nous savons que si 01 (fig. 8) est le diamètre du cercle polaire relatif, Od celui du droit: principal, le symétrique OE de Oe par rapport à OY sera l'excentrique absolu correspondant. Pour que le lieu de E passe par 0, il faut que celui de e passe par ce point; il est nécessaire par suite que 1 se meuve sur une parallèle à Oe dont la distance à Oe soit égale et de sens contraire à la distance du point d à la même. droite.
En d'autres termes, il faut et il suffit que par les trois points 0, 1 et d on puisse mener trois droites équidistantes, parallèles à la. ligne des centres et que 0 se trouve sur celle du milieu. Ce cas spécial n'avait pas échappé à M. Guinotte. Supposons que l'angle de calage de l'excentrique de distribution soit assez fort pour que le cercle de recouvrement enveloppe le cercle de rayon y (fig. 9). Le rayon OQ auquel la ligne des centres devra être perpendiculaire, pourra trèsbien passer par R à l'intersection du cercle polaire principal et du cercle y.
dR sera alors parallèle à la ligne des centres et en prenant celle-ci à une distance de 0 égale à
,
r sera l'ex-
trémité d'un diamètre de cercle polaire relatif. On voit que par les trois points 0, r, et d on pourra mener trois parallèles à la ligne des centres ; elles seront équidistantes et 0 se trouvera sur celle du milieu. Il est donc possible de construire une distribution à dé-
tente variable dans laquelle la coulisse de détente est mobile autour d'un point fixe. Mais cette distribution