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AI AC EINE S
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SYSTÈME DE M. L. GUINOTTE.
D'EXTRACTION.
perdre à la vapeur une fraction si considérable
du travail
dont elle est capable. plus être Il va de soi que la règle de Guinotte ne pourra appliquée dans la détermination de la ligne des centres de y = o. des cercles polaires relatifs, dans l'hypothèse dans sa Cette règle suppose en effet que le taquet étant tiroir sont entièrement position moyenne, les lumières du ici, nous arriverions à faire dégagées. En l'appliquant des passer la ligne des 0 centres au point et à employer est inadmiscercles polaires relatifs de rayon nul, ce qui sible.
ligne en Mais nous avons toute latitude de choisir cette cercle polaire du dehors de ce cas spécial, pourvu que le grand pour laisser à plus petit diamètre soit encore assez servira la vapeur un passage suffisant. Cette considération point O. Quant à fixer la distance de la ligne des centres au la prendre telle que à sa direction, on pourra par exemple extrêmes soient les diamètres des cercles polaires relatifs la machine égaux. Cette solution sera la meilleure lorsque valeur de la devra fonctionner indifféremment avec toute la machine détente. Mais si, dans les conditions normales, de détente dédoit marcher de préférence avec un degré de manière terminé, on devra nécessairement s'arranger le plus grand que, pour ce degré, la distribution réunisse nombre d'avantages. une Taquet à orifice central. - M. Pichault propose distributeur autre modification à apporter au mécanisme le taquet de déde M. Guinotte. Elle consiste à remplacer Pl. III. tente par le taquet à orifice central représenté fig. 7, La fermeture des lumières du tiroir se fera ici par un moului avons vement du taquet inverse du mouvement que nous
cette donné précédemment. En supposant toujours que posifermeture se fasse au moment où le taquet atteint sa des cercles tion moyenne, nous prendrons pour centres polaires relatifs les symétriques par rapport à 0 des cen-
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ires que nous avons déterminés dans l'hypothèse d'un taquet ordinaire à découvrement nul. Supposons par exemple qu'il s'agisse de couper l'admission de la vapeur au moment où la manivelle occupe la position OM), (fig. 5). Nous élèverons sur OM), une perpendiculaire 01,- mais au lieu de porter le diamètre du cercle polaire relatif de 0 en 1 comme précédemment, nous le porterons de 0 en l', étant symétrique de 1 par rapport à O. La construction se termine, du reste, comme précédemment. On arrive ainsi à voir que OE' est l'excentrique réel ou fictif qui est apte à donner au taquet son mouvement absolu.
Si nous avions employé le taquet ordinaire à «couvrement nul, c'est OE que nous aurions dû prendre. Mais Oh = Dh, de sorte que les deux excentriques sont les deux
diagonales d'un même parallélogramme. Il est facile de s'assurer que tant que I\I0311 <110d,
OE' sera plus grand que 0E. u contraire, si
1\10M), > 1110d,
0E' sera plus petit que 0E. Or OE et 0E' mesurent les déplacements absolus du taquet ; ils donnent donc aussi la mesure des frottements qui se produisent aux presse-étoupes, aux articulations, aux excentriques, etc. Il y aura par conséquent avantage à prendre l'excentrique le plus petit. En général, la détente ne commence que lorsque la manivelle a dépassé la position Od ; l'avantage semble donc appartenir à l'orifice central. La question peut cependant être discutée. En effet, la différence entre OE et 0E' n'est pas toujours bien considérable. D'autre part, si le tiroir à orifice central réalise une économie de frottement dans les presse-étoupes, c'est aux