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TUNNELS DU MONT CENIS ET DU SAINT-GOTHARD,
PERCEMENT DES ALPES.
4o'2 on détermine le côté
14,
20 Au moyen du triàngle 10,
11,
(6)
3 - 10.
3,
10 - 11.
5 - 15. (7)
11,
qui donnent
2, 10, 10
10 - 11.
11, 14, 16.
qui donnent (7)
16, 5,
5 - 15.
qui clonent
13, 11,
DEUXIÈME SYSTÈME.
(7)
on obtient
15 - 19.
(9)
Retranchant (9) de (5), il reste
Au moyen des triangles
Observatoire. - Entrée nord. (10)
Ajoutant (5) et (10), on obtient pour longueur totale 12.220 mètres. mètres. La cote d'entrée à Fourneaux et de. à Bardonnèche. . . ici.
. .
i.2o2,82 1.555,38
La différence du niveau a été rachetée comme suit mètres.
Cote d'entrée à Bardonnèche Pente 0-,0005 par mètre du point le plus élevé à la fausse tête sur 6.110 mèt.
1.355,58 5,055 1.558,455
Côte d'entrée à Fourneaux
Ralripe de 0',02:12 par mètre de la fausse tête au point culminant sur 6.110 inèt.
Pour vérifier l'alignement du tunnel, à l'embouchure nord par exemple, on dirige d'abord la lunette vers le signal F, puis, en l'inclinant convenablement, on arrive à fixer un point dans la galerie. Ce point de mire est un fil à plomb éclairé par une lampe, et fixé au ciel de la galerie au moyen d'un rectangle en fer, sur un des côtés duquel
sont pratiquées des entailles très-voisines, de façon à
17, 15, 19,
15, 18, 15,
10, 10,
10 -- 11.
(8)
Au moyen des triangles
deuxième par les triangles 2,
(8)
16, 5,
14,
4o5
J'ajoute enfin que l'axe du tunnel fait un "angle de 19. avec le méridien, et que la plus grande épaisseur de roches qui recouvrent la galerie est de 1.617 mètres.
15, 15,
La vérification se fait au moyen des
ttriangles Deux vérifications peuvent se faire La première par la série des triangles 3, 2,
14.
on obtient la longueur du côté
11,
on obtient le côté cherché
12, 12,
10, 14, 5,
11,
s20282 155,642
1.558,462
ferrée qui suit le Pour raccorder le tunnel avec la voie flanc de la montagne, on a été obligé de construire les deux têtes en courbe ; ce travail n'a été fait qu'après coup, deux fausses têtes dans car il fallait, avant tout, installer la direction de l'alignement.
pouvoir faire passer le fil de l'une dans l'autre, suivant les signaux de l'observateur. Pour transmettre ces signaux, on se sert généralement d'un appareil télégraphique Bréguet, les fils sont fixés le long des maçonneries et suivent les progrès de celles-ci. Cette vérification de l'alignement exige la suspension des travaux à l'intérieur, l'absence totale de fumée dans le tunnel et de brouillards à l'extérieur. Les difficultés auxquelles on est susceptible 'de se heurter sont consignées dans l'extrait ci-dessous (*):. A Gceschenen, on avait décidé d'exécuter l'opération entre le 9 et le 15 septembre, afin de faire coïncider avec l'époque de la paye des ouvriers, la suspension de travail qu'elle entraîne. o La ligne de visée avait été rendue libre dans le tunnel, les fils télégraphiques avaient été posés à l'intérieur et à l'extérieur de la galerie, le personnel se tenait prêt 'depuis le 10 septembre à midi. Les travaux du stross furent sus-
pendus à sept heures du soir. Mais l'opération ne put commencer immédiatement, à cause de la fumée qui remplissait encore la galerie, et fut remise au 11 septembre, le jalonnement depuis l'extérieur me pouvant s'effectuer que de nuit. (*) Rapport trimestriel n°1 sur la marche des travaux du Saint.: Gothard.