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SONDAGES.
TRAVAUX EXÉCUTÉS A BOURBONNE-LES-BAINS.
du trou. Enfin on construisit une tête de sondage à la partie supérieure.
Une tranchée, creusée lors des travaux de 186o pour
vaux. Au mois de mars suivant, en opérant dans les mêmes conditions, on trouva 65 mètres cubes et 410.
réunir le sondage au puisard militaire, fut employée de non.:
veau de la même manière. On se contenta d'y replacer les cinq tuyaux primitifs débouchant à o,28 au-dessus du radier du puisard, à la cote 252,14. Ces conduites ont naturellement disparu en 1875 lors de l'aménagement général, pour être remplacées par une prise d'eau faite à peu près au même niveau.
Aujourd'hui, tous les travaux terminés, le jaugeage du sondage n° 9, effectué le 5 décembre 1876, nous a donné 28,8 mètres cubes, à la température de 45°. Ce chiffre doit éeconsidéré comme constant, sauf les variations que produisent les saisons pour toutes nos sources. Sondage n° 1. Ce travail fut entrepris, au commence-
Résultats. Au moment du tubage de 186o, le débit
ment de 1859, sur le trou de sonde d'exploration n° r ple dans le jardin des bains civils. Celui-ci, profond de
s'éleva un instant au chiffre de 576 mètres cubes (?), puis il subit de fortes variations, accompagnées de dégagements gazeux très abondants. La température, trouvée de 61° au
2$.1nètres, avait été rempli de glaise pour éviter les ebouleMents. On le reprit avec les outils de om,26 jusqu'à une profondeur de 16 mères pour y placer des tuyaux de:retenue en tôle au milieu des terrains ébouleux, puis on le continua avec les outils de 0'4 25.
fond du forage, se réduisit à 48° et 47°, pour se relevelq 5o° 1/2. Lors de la reprise de 1862, on fit quelques expériences sur le débit de cette source, par deux procédés différents, D'about, on constata que le débit du trop-plein des Sources militaires variait autour de 19 mètres cubes en moyenne peu de temps avant la reprise du sondage, tandis que troiS mois plus tard il s'éleva à 35 mètres cubes : on constataitdonc iine augmentation de 14 mètres cubes, sans qu'il y eût eu change-
L'orifice du trou est à otu,58 au-dessus du niveau du pavé des bains, cote 255,91, qui nous sert généralement de,/père. Au-dessous de cette altitude, on trouva d'abord deSjerres remaniées, puis un dallage en grès à 1-,92 seuleml,t,ziOn entra ensuite dans un terrain argileux, assez ébpUie'tix, jusqu'à 16 mètres de profondeur. Une première
ment sensible pour les sources civiles; et l'on attribua la différence à l'amélioration du scellement. Il nous paraît
d'eau se produisit à ce niveau, c'est-à-dire à 2 mètres environ au-dessus du point où la nappe aquifère avait été rencontrée en 1857, par suite du bouchage incomplet du trou , e, laissé par ces travaux. La quantité d'eau ne fut d'aborMue de 8 mètres cubes; à 18 mètres de profondeur, elle: s'éleva rapidement à près de 4o mètres cubes, pour venUe
plus que douteux que ce travail ait pu changer ainsi le débit total, et nous sommes plus disposé à admettre que la différence tient tout simplement à ce que les premières expé-
riences avaient été faites au mois de décembre et les secondes en mars. A cette dernière époque, l'eau qui remplit les alluvions s'opposait aux pertes par infiltrations et suffisait à créer le surcroît du trop-plein. Mais une expérience directe semble plus concluante et a l'avantage de fixer le débit du sondage, en 1862, à la cote 252,14. Après avoir vidé le puisard militaire, on trouva un
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débit de 52 mètres cubes pour les conduites arrivant du sondage 9. La température, mesurée dans un seau, était de 56° : l'expérience était faite en décembre, avant les tra-
ensuite en croissant régulièrement, au fur et à mesure de l'approfondissement, jusqu'à la profondeur de 51 mètres. Le débit vérifié à ce niveau s'élevait à 86 mètres cubes. Il subit alors un brusque acbroissement '11119 porta à 144 mètres cubes. Le forage fut encore conaller
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