Annales des Mines (1880, série 7, volume 17) [Image 262]

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TRAVAUX EXÉCUTÉS A BOURi3ONNE-LES-BAINS.

AMENkENIENT IIES SOURCES.

bigarré de o'n,go d'épaisseur. Sa surface Atait.à peu près horizontale, mais 'présentait deux rainures de om,25-4e e large et de om,o5cfe pro, f(n.' deui- ,,?2,-,destinée, sans cl.'ou,)t--1("n pas COMM der des eaux pluviales, bien q,.,ue Dr .,..,q nn ne-,,nvoie -y, `01-ân'S ,C-eltdenceinte,'aii-groU Ii pluie devait être admise ' ,. .. Ji 00 5.1ii.E1 .90 olloiq 91) aoerdee recouverte' dun toit. ,-,001 ., ,-.Ï ,JI) 2.431i9i0- 7,1.1

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vait tifi second-sol --plac Au dessonS' du dallage se ,c) ,--_,..)9Dr.icf e ',031.1Ei, niVeàii de l'embase des piliers, et formé derpentes rives '11`,L1191,1'1 v .i.)ac,,

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de °n'o.° de long, om,i o de liant et om;o2 d èpa).ssenr, . i 101M. iii posées de champ en forme parquetée. Unemet %nef, .

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dallage qui ies surmontait; de béton séparait les briques an ,33.e.., atIo4.1t)0[11j.15 )lifi 2,0.,!,.,. Au dessous d'elles on trouvait un, radier,C:',,i`90E cte neton ue on'âo ï:;./3 913 î. ,a 1.191 ;.ri,; d'épaisseur, posé sur une rangée de moellons, prn.ts or' .'1:.(1 QI,. ,,,,,,idetiii .U4.. ,'J' mant drainage. Dans le béton étaient enCiaves de petits ?ei; 091J0if. oinesui Ani d de nauteur canaux de om,i5 à om,20 de large sûr

l)i.eA, ,,floa 7u.r. su 0

revêtus en pierre sciée en dalles minces. Tin_ autre cana, ---ww(11110 , (921M, formé de deux pierres creusées, réservant une ,,,'section circu9if119ig , ,

-

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,

laire, renfermait un tuyau de plomb de on', Io deH diamètre  fik .f)Ciu . Ce tuyau était entouré de béton fin : il se dirigeait duisii

au nord, traversant toute la fouille, partant de la

,

Enfin, au nord, il était interrompu par un mur de iffi,55 d'épaisseur, pour' reprendre au delà. Ce dermer mur des2m,5nt au dessous de la partie inférieure du. dallage. Au dessMis des-colonnes, il se composait de cinq 210J5 assises de-pierre de taille oolithique, formées chacune de deux pierres de im,3o de long, o'n,65 de large et om,5o de â3D hauteur, placées en croix les unes au dessus des autres, eetsyls'4ei s' simplement dans les marnes en place, sans béton numi&Y Les entrecolonnements étaient occupés par un ûrtouoD mnr en moellons de meme épaisseur, posé sur un drainage heir &moellons à sec, et sans pilotià. Nous avons enlevé toutes

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des pompes et allant au sondage n° 1 2 . C'était le prolonge, ) p.:',.) i ment du tuyau rencontré en exécutant ce sondage. Il était profondément corrodé; cependant on ilisait faeileniele, marque du fabricant : COCILLVS FEC. Les diverses parfiek. ,t de ce tuyau étaient assemblées par emmanchement de l'une,

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dans l'autre, avec un noeud de soudure. ,,ti Le béton s'arrêtait, au sud, contre le mur vertical far,i mant paroi de la fouille, et descendant à deux mètres-plm, bas. Ce mur était monté sur des pilotis en bois d'aulnO,p partiellement transformés en carbonate de chaux : il étni partie en moellons et partie en briques. - p8 A l'ouest, un mur en moellons limitait le béton, mais sans descendre plus bas que lui, et sans que nous ayons vu des pilotis pour le soutenir. A l'est, le béton se dirigeait vers le puisard et dépassait la limite de nos fouilles.

celles de ces pierres qui. dépassaient la paroi de nos fouilles. es.Sods'dO ii'éto là tèriain était'Com osé de marnes

presque noires, assez SOlides et évidemment en place. nrr,, 51..) Grâce aux conslructions romaines, il n'a pas été nécessaire delekiiiCOMplètement la tranchée an-aessous des quatre mètres : il a suffi d'un Petit nombre d'étais pour .wuf.

éViter les éboulements.

Mais, au ,dessous du dallage, les travaux ont été rendus diiffit!iil. es par les épuisements. Une quantité considérable

d'eail'chaude nous arrivait surtout de la face est, par des çominunications souterraines avec le puisard et les galeries rohiames. Ellespénétraient dans la fouille par le drainage - 'Ii romain et par pliiSieurs des petits canaux enclavés dans le béton. Leur- température atteignait 550 et leur volume moyen était de 5o mètres cubes par heure. Maçonneries. - Une fois la fouille parvenue à la cote 0,11-7 où elle devait se terminer, pour arriver à exécuter lei maçonneries, nous avons fait comme les Romains

nous-avons creusé un petit puisard d'aspiration, et établi sur tout le fond de la fouille un drainage composé d'une assise de moellons posés debout et à sec, de façon à amener

au puisard toutes les eaux qui suintaient des parois de l'excavation. Placé près de la face est, le puisard recevait directement la venue d'eau chaude la plus importante,