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AMÉNAGEMENT DES SOURCES.
TRAVAUX EXÉCUTÉS A BOURBONNE-LES-BAINS.
amenée par un petit chenal creusé dans la marne et recouvert d'une planche. Dans le puisard plongeaient les aspira teurs de deux pompes centrifuges, et parfois ceux de «deux pompes Letestu, toutes manoeuvrées jour et nuit!:
Pour poser le béton, une'casse
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puisard sur i mètre de hauteur, et les épeSements firent maintenus jusqu'à ce que les piédroits terinitéS dépaàgàssent le niveau d'écoulement naturel par l'aquedk'lErifir,près la pose du: radier en moellons, nous essayânie,Tecle'béiacher le trou réservé, après avoir enlevé la caisse"èfilioleillais
nous né pûmes réussir cette fermeture qu'en blonge dans le vide un tuyau en Plomb de om,12 de diamètré.; muni d'une bride, et en continuant l'aspiratiOn par ce tuyau jusqu'à ce que le trou fût fermé au ciment. Effiposant alors la contre-bride obturée par une plaque de cergi, .,Joy la source fut arrêtée très rapidement. Mais, aussitôt cette fermeture opérée, l'eau 4Pàiiiii&
toutes parts, à travers le radier, et en quelques poiiits des parois. Ces dernières furent facilenient réparées au ciment:, et les fuites complètement effacées, grâce à la .déchüde
produite par l'ouverture de la bonde de fond. Mais le radier était perdu, et l'on dut assurer son étanchéité indépendante, comme au puisard militaire, en le remplaçant par une voûte renversée en briques debout, ayanee,'fi d'épaisseur. La longueur de cette voûte est de 15m,60, sa portée de 2-,6o et sa flèche de on', o. Elle est maçonnée au ciment et parfaitement étanche. La voûte présente la même disposition qu'au puisard militaire, avec deux cheminées. Mais il n'y a pas de galerie des pompes au niveau du radier. La nature ébouleuse de la paroi sud nous a obligé à faire l'aspiration directement dans le puisard. Une excavation, réservée dans le radier, sert à loger la grenouillère; un trou dans la voûte communique avec la chambre des pompes par une petite galerie placée au dessus du niveau du trop-plein.
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9).am.breAes pompes. - Au sud du puisard, à une distance de 4 mètres environ, devait être installée la chambre
desApompes. P.après nos projets, son radier était à la cote 251,97, comme les banquettes- des galeries : elle avait 1,4 fRpee.,d'un,ree,tanglede 4-,5o sur 5m,5o à l'intérieur. Lachambre a, qé exécutée en effet dans ces conditions. Sa corstrucion d'alp rencontrer-de nouveaux travaux romains présentant quelque: intérêt. aprofondeur de, 4m,5o, nous sommes tombés sur un illage.romain en pieTre oolithique; placé au même niveau
mle dallage :.en..grès. Il présentait un trou pyramidal féTe, par une pierre jadis munie d'un anneau. Au dessous le cette pierre, un vide, dei,5o de profondeur annonçait
la présence d'une des galeries souterraines profondes. Mais 11011S n'y sommes pas entrés, parce que nous ne voulions pas démolir cette construction, destinée à nous servir de fondations.
A côté du dallage, nous avons rencontré une série de bautes marches en pierre de taille oolithique, faisant retour au nord de notre fouille, et s'enfonçant vers l'ouest et vers
le sud par gradins de o"',25 de hauteur. Nous avons découvert cinq de ces gradins, ce qui nous conduisait à une profondeur totale de 5-,75 au dessous du sol, soit à la cote 250 mètres.
Tonte l'excavation était remplie de morceaux de tuf provenant d'une voûte écrasée, et mélangés à quelques débris de tuiles et de pierres de taille. Nous avons enlevé ces débris sur i mètre de hauteur pour asseoir notre béton.
Du côté nord de la fouille, la petite tranchée allant re:j'Oindre celle du puisard pour bâtir la galerie des pompes,
avant de traverser le mur en briques, a rencontré sur .celui-ci une niche voûtée. Dans les débris qui la remplissaient se trouvait un piédestal sans inscription, bien qu'en forme d'ex-voto, présentant des restes de scelle-