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COMBUSTION DES MÉLANGES GAZEUX.
TEMPÉRATURES DE COMBUSTION.
La chute de pression dans l'unité de temps, après s'être maintenue à peu près constante, jusque vers la vibration 9 ou 10, c'est-à-dire jusqu'à ce que la pression se soit abaissée de 5o6 centimètres à 100 ou 8o centimètres, se ralentit ensuite d'une manière assez notable.
importantes, c'est que la vapeur d'eau ne subit aucune modification physique entre les pressions de 5o6 et de 100 centimètres de mercure. Comme elle n'en subit certainement aucune au-dessous de cette dernière pression, on peut donc dire avec certitude que si une masse de va-
= a((zirp0),
peur d'eau, dont la densité au moment de la combustion qui lui a donné naissance est définie par la pression ,ze = se dissocie au moment de la combustion, cette dissociation a complètement pris fin lorsque la pression est descendue, par le refroidisssement et la condensation sur les parois, à 5o6 centimètres. Les autres expériences que nous avons faites sur la va-
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En résumé le coefficient a de la formule dt
au lieu d'être rigoureusement invariable comme semble le montrer la fig. 7, PL XIII, reste en effet presque constant et , égal k°9== 0,21 environ (l'unité de temps étant la vibration du manomètre), :Ide (eir po= 5o6 centimètres à tzep0= ioo centimètres. Il décroît ensuite notablement à mesure que ree po,s'abaisse. Pour les pressions élevées, qui seules nous intéressent dans ce travail, on peut donc poser, en prenant la seconde pour unité de temps
(t)
peur d'eau, la pression ,ziro restant à peu près la même, donnent des résultats analogues. C'est ainsi que l'expérience (29, VI, 4) , dans laquelle .5o et 'ro= 275+ 2A, donne toujours pour les pressions élevées, 0.089
6,8
Cette formule ne s'applique que dans les conditions de l'expérience, c'est-à-dire lorsque la densité de la vapeur à l'origine de la condensation, est définie par la pression (aro = 49,7 qu'exercerait cette vapeur si on la refroidis-
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L'expérience (2 XI, 1), dans laquelle (zz,,, = 48,9 et 'ro, 275 + 9 a donné pour a, un chiffre notablement plus
grand, a., 0,24. Influence de la densité de la vapeur.
Nous avons
sait à ,ro sans la condenser. Si l'on remarque que po est la tension de la vapeur saturant l'enceinte à la température -ro qui est celle de la paroi du cylindre pendant toute l'expérience, on peut interpréter cette formule en disant que la chute de pression est proportionnelle à l'excès de la tension de la vapeur sur celle
vu que la diminution de la densité abaisse considérablement la température à laquelle cesse la dissociation de l'acide carbonique. Il était donc très important d'expérimenter avec de la vapeur d'eau de faible densité, de manière à tâcher de rendre apparente la dissociation, s'il y en
qui détermine la condensation sur les parois. C'est cet excès qui est la cause du phénomène de condensation. Le phénomène est donc ici proportionnel à la cause qui le
Tel a été le but des expériences suivantes, faites avec des mélanges tonnants d'hydrogène et d'oxygène.
produit. Il résulte d'ailleurs clairement de toute cette discussion, et de l'examen de la figure, cette conséquence des plus
a une.
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