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TEMPÉRATURES DE COMBUSTION.
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COMBUSTION DES MÉLANGES GAZEUX.
Expérience yr,
273 + 13
7.5
25,1
(le XI,
rmo
est représentée d'une ma-
nière passable par la formule.
1).
po= 1,1.
1)6), est encore représentée
f (ID,
La fonction _Ji_
La variation de a, avec
presque rigoureusement par une droite ; on a donc encore = a (te p 0), mais le coefficient a est sensiblement
av= 0,09 +
5,5
qui donne les résultats calculés contenus dans la dernière colonne du tableau qui précède. En prenant la seconde pour unité de temps, on aurait a8= '2/95 + -1:12
plus élevé, et l'on trouve
Acide chlorhydrique.
av= (3,291
Aucune dissociation n'apparaît.
Une autre expérience (i5 XI, 2), faite avec le même mélange et la même pression (teo, a donné a v = 0,512. Expérience cso = 14,8
p= 1,1.
Aucune dissociation ne se manifeste encore. La ligne est presque exactement une droite dont le coefficient angulaire est plus grand que celle de l'expérience précédente, et donne ao = 0,4 7.
Ces expériences ne montrent donc aucune dissociation pour la vapeur d'eau, même lorsqu'on abaisse la densité de i à )/4. Elles montrent en outre que le coefficient a, qui reprép de la chute de pression'. par sente le rapport, à unité de temps, varie beaucoup avec reo, c'est-à-dire avec la densité de la vapeur, puisqu'on a (5),
av
av
observé.
calculé.
50
0,21
0,2o
25,1
0,29
0,31
0,49
0,1(6
14,8
rhydrique gazeux formé se condense avec une grande rapidité en se dissolvant dans l'eau qui formait une nappe mince au fond de notre cylindre. On peut étudier la loi de cette
condensation d'un genre spécial. Voici le ,résultat d'une
expérience faite avec le mélange tonnant de chlore et
(15 XI, 3).
T0=273 + 13
Lorsqu'on fait brûler un
atome de chlore par un atome d'hydrogène, l'acide chlo-
9,5.
d'hydrogène. Expe'rience
(23 XII,
1).
Mélange tonnant de Cl et H. -ro= 273 Pression initiale. h = 113,4
+ 8
Po= 3,11.
On essaie d'abord la formule
La fig. 8, Pl. XIII, montre la ligne que représente cette fonction. Cette ligne est loin d'être droite, comme dans le cas de la vapeur d'eau, et l'on en conclut que la loi de condensation, par dissolution, de l'acide chlorhydrique est très différente de celle qui convient à la condensation de la vapeur d'eau. deest également une La ligne qui représente courbe.