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THÉORIE CELLULAIRE
Carbone pour 100.
On fit ainsi les essais suivants
a. Chauffage dans l'azote pur et sec. Quatre fragments du même acier furent placés dans deux nacelles en platine et chauffés dans un tube en platine par un chalumeau Schloasing , dans un courant d'azote pur et sec. Dix minutes après l'allumage, le tube étant
Témoin à l'état naturel Cylindre réchauffé et refrqidi dans le courant d'hydrogène, puis réchauffé au feu de forge.
y. Chauffage au feu de forge.
Carbone pour 100.
d'azote
Cylindres réchauffés dans le courant d'azote et trempés.
0,587 et 0,61 0,182 et 0,455 0,28 et 0,27
(?). Chauffage dans l'hydrogène. Mêmes essais que ci-dessus en remplaçant l'azote par l'hydrogène
également pur et sec.
.
0,41
Cylindres réchauffés dans le courant d'hydro-
nacelles fut rapidement tirée dans une cuve à eau à 100, éteint, de sorte que les fragments placés dans la seconde nacelle avaient été chauffés dans l'azote pendant le même temps que les fragments trempés ; deux autres avaient été gardés comme témoins. On trouva par la méthode Eggertz
0,152
d'hydrogène
gène et trempés
puis le tube immédiatement refermé et le chalumeau
0,91
Cylindre réchauffé et refroidi dans le courant
depuis plusieurs minutes au rouge cerise, l'une des
Témoins à l'état naturel Cylindres réchauffés et refroidis dans le courant
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DES PROPRIÉTÉS DE L'ACIER.
0,21, et 0,32, Carbone pour 100.
Témoin à l'état naturel Cylindres réchauffés au feu de forge et trempés Cylindres trempés avec les précédents, puis recuits rapidement au feu de forge
0,90
0,48, et 0,41 0,61, et 0,63
ô. Chauffage dans le vide sec avec trempe au merLa figure 14 (Pl. I) montre la disposition de cure. l'appareil employé et comment on s'est servi, pour la trempe dans le vide, d'un gros tube manométrique. Témoin à l'état naturel Cylindres réchauffés et refroidis dans le vide. . Cylindres réchauffés dans le vide et trempés au mercure
0,52
0,50 et 0,19 0,31 et 0,33
essais prouvaient 'bien, de la façon la plus nette, que la trempe diminue énormément la teneur en Ces
carbone indiquée par la méthode Eggertz. étend ensuite à 50 centimètres cubes avec de l'eau distillée, on laisse refroidir et l'on transvase dans des verres de Bohème bien calibrés de 43 millimètres de diamètre. Pour mesurer le pouvoir colorant des solutions obtenues, on se sert d'une série de liqueurs types contenues dans les mêmes verres de Bohême de 13 millimètres et placées devant une glace dépolie orientée au nord. Les termes successifs correspondent aux teneurs en carbone de, pour 100 : 0,05; 0,10; 0,15; 0,20; OA' ; 0,30; 0,40; 0,50; 0,60; 0,70; 0,80; 0,90 pour Ogr,500 d'acier dissous dans 50 centimètres cubes. On amène la liqueur à comparer entre les deux termes voisins qui la comprennent, et l'on estime au juger le chiffre des centièmes pour 100.
Les types sont préparés au moyen d'aciers connus, attaqués
(c) Le carbone manquant avait-il disparu ? (*) Non, car en même temps que les essais et dans des conditions rigoureusement identiques. Les aciers étalons sont au nombre de quatre, qui contiennent respectivement 0,16-0,20-0,54 et 0,85 de carbone. Le premier fournit les types de 0,05 à 0,15; Le deuxième, les types de 0,20 à 0,30; Les deux derniers, indifféremment, les types de 0,30 à 0,90. Pour les aciers à outils et les fontes, on a des étalons spéciaux.
('`) M. Forquignon, dans son remarquable mémoire (Recher-