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STATISTIQUE DE ACCIDENTS DE GRISOU.
32
MINES DE HOURI
4.
BASSIN DU GREIJZOT ET DE BLANZ):
a.
A.
1.
Concessio. (Instituée par de,
DATE
'-'0
z1
de l'accident. 2
LIEU de
l'acci-
dent.
NOMBRE d'ouvriers ,...-.......___.___-Tués.
Blessé s .
3
z o,
.-.... > _ ,.
c6
GROUPE DE LA BOURGOGNE ET DU NIVERNAIS.
Département de Saône-et-Loire. de Blanzy. du 29 Mars 11 69.)
CAUSES DE L'ACCIDENT
%
lf -2
33
_---emerica....------Causes directes .;------........,---.....*------ ,.
.
c 7:7 z. E c" ,"7 r.,
7
,
.27,.
l'accumulation
de l'intlammalien
Causes indirecte-.
8
9
20
de
du gaz.
du gaz.
OBSERVATIONS
Il
Tonnes 582
il
583
1849
Puits
9 Jan-
Sainte-
vier.
Marie.
1847
Id.
2
»
291
89340
Brûlés.
2
(.lago.
294
89340
Feules,
13 Août.
Puits en fon-
Remontée en cul-de-sac.
Lampe
Négligence
à feu nu.
la part des '1,
Flamme
imprudence
Circonstances de l'accident. Deux ouvriers travaillaient au fonçage d'un puits lorsqu'une petit quantité de grisou s'enflamma sur une lampe à feu nu et les brûla tous les deux.
nies.
d'une lampé l'une des
1T
de sûreté mes qui, Tord chassée hors sa lampo de du treillis. nié oc
Circonstances de l'accident. lin ouvrier travaillait dans une remontée en cul-de-sac. Voyant sa lampe de sûreté so remplir de feu, il souffla dessus ; mais il fit ainsi sortir la flamme hors du tamis an lieu de l'éteindre. Une inflammation générale de grisou se produisit et le brûla ainsi qu'un de ses camarades qui se trouvait prés de lui.
flammes, ait relude soufflé ilestu pour l'éteindre.
,
584
1848
lit.
2
4 Août.
585
1851
25 Avril.
291
89340
Brûlés,,
Puits Gin i-
G
Sous.
Brûlés et
Couche
asphyxiés.
l'S`1, L
dtage I e 200' .
.
Remontée en cul-de-sac.
615
159755
Lampe
i.
à feu nu.
Aérage général Lampe Imprudence insuffisant. de sûreté Tune des vic Mauvaise distri- incomplète- nies, qui se g bution de Paérage nient fermée. vait d'une laini de sûreté incoo plètculent feriW
Circonstances de l'accident, Une inflammation de grisou brûla deux ouvriers dans un chantier en cul-de-sac, où l'on travaillait avec des lampes à feu nu.
Indications génerales. L'aérage, très-insuffisant et vicieux, se faisait naturellement entre deux puits dont les orifices étaient à la même hauteur. Le courant d'air ne s'établissait donc qu'eu raison de la température plus elévée des chantiers et d'une chute d'eau froide dans les puits d'entrée d'air. La distribution de l'air n'était pas meilleure. Trois galeries en cul-de-sac de 40, 50 et 70 métres de longueur n'étaient aérées que par diffusion. Circonstances de l'accident. -- Une explosion s'étant produite dans les travaux du puits Cinq-Sous& à l'étage de '200 mètres, dans une galerie en cul-de-sac de 40 mètres de longueur, six ouvriers furen brillés et asphyxiés.
Remarques particulières.
La galerie n'était aérée que par diffusion. Les ouvriers étaient chargés du démontage de leur lampe et l'une des victimes négligeait depuis quelque temps do se servir de la virole destinée à maintenir le treillis, de sorte que le ballottement de ce dernier mettait l'intérieur de la lampe en communication directe avec l'atmosphère de la mine.
Lors du sauvetage, il ne fut pas possible de parcourir tous les travaux où l'accident avait eu lieu, à cause de la présence du grisou qui faisait craindre un nouvel accident.
Mesures prises à la suite de l'accident. 'aérage.
Tome IX, 1886.
Une cheminée d'appel a été construite pour activer
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