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EN AUTRICHE-HONG-RIE.
SIGNAUX DE CHEMINS DE FER
manière qu'il faut un courant prolongé pour mettre disque à voie libre et une interruption prolongée pour le mettre à l'arrêt. A cet effet, l'axe autour duquel oscille l'ancre de le
If
Remarquons d'ailleurs que dans l'hypothèse que nous avons faite d'un courant accidentel de peu de durée, le
goujon r en agissant sur la branche de levier C, ne produira aucun effet sur le taquet J, ni par conséquent sur
l'aimant, porte en outre (fig. 2 2 et 23) deux petits taquets
le levier d'enclenchement, puisque le bras C, ne peut attein-
J, et J,. Sur un axe S, parallèle à l'axe Z, sont montés dein
dre lé taquet J, que si l'armature A est attirée. On verrait de même qu'une interruption momentanée et accidentelle du courant, survenant pendant que le disque est à voie libre, déclencherait bien l'appareil, mais
leviers C, C, et C2 C4 à deux branches. L'un de ces leviers C, C, ne peut atteindre le taquet J, et faire osciller la four-.
ahe vers la droite que si l'armature A n'est pas attirée par l'électro-aimant ; et l'autre C, C ne peut atteindre ln
n'aurait d'autre effet que de le faire tourner de 1800, ce qui le ramènerait dans la même situation qu'avant le
taquet .1-2 et ramener la fourche vers la gauche que si l'ai,
déclenchement.
Mature est attirée. A l'état normal, ils ne gênent d'ailleurs en aucune façon le mouvement oscillatoire de la fourche, et n'agissent que
L'appareil Teirich fonctionne avec beaucoup de régularité et d'une manière très satisfaisante sur les chemins
lorsqu'ils sont actionnés par les goujons r, r, et r,r disposés sur la face antérieure et la face postérieure d'une
t,
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de fer du Sud Autrichien, sur les lignes du Salzkammergut et sur le chemin de fer de l'Ouest Impératrice Elisabeth.
roue R.
SIGNAL A DISTANCE DE OTTO SCFIiFLER.
La figure 24 indique la position du méca nisme quand k
disque est à l'arrêt. Supposons qu'un courant électrique accidentel de peu de durée vienne à circuler dans le II de manoeuvre : l'armature A un instant attirée revient dans sa position normale et l'oscillation complète ainsi produite dégage le levier d'échappement et par suite l'appareil moteur. Le levier II irait donc se réenclencher sur la
Le mât du signal se compose soit d'une colonne- métal-
lique placée sur un socle en fer (fig I et 2, Pl. XIV), soit plus généralement d'une pyramide en bois (fig. 3 et fig. 4). Il supporte soit un. disqiie (fig. n et 3), soit une aile à claire-voie (fig. 2 et 4). .
Les supports en bois sont d'un aspect peu élégant,
jon r, n'intervenait à ce moment. Quelques instants avant
mais ils présentent certains avantages au point de vue de la conservation des appareils. Ils dispensent, en effet,
que le prisme e n'atteigne la palette g, le goujon r,
d'établir,
palette g et le disque se mettrait à voie libre si le
gou-
vient
è. la partie inférieure du mât, une fosse pour
appuyer sur C, ; la branche correspondante C, fait incliner vers la droite la fourche G qui reprend sa position normale
recevoir le poids moteur dans son mouvement descendant. Il n'en est pa»s de même dans le cas des supports métalli-
dès que r, a dépassé C Cette double oscillation effet de déclencher de nouveau le levier, de faire
ques. Or cette fosse est nécessairement humide, et les
a pour tourner
de nouveau la roue R de 9(30 et de rétablir ainsi tout la mécanisme dans la situation -qu'il avait avant le déclenchement accidentel.
vapeurs qui s'en dégagent, jointes à l'action de la gelée qui
se fait sentir avec plus d'intensité à travers les parois conductibles d'une enveloppe métallique, qu'au travers d'une chemise en bois, amènent une usure rapide des