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362 APPAREILS EMPLOYÉS DANS LES MINES ALLEMANDES
particulier que le zéro de la graduation se trouve au point où le bras bc repose sur le tambour W, on sera certain que, lorsque la tête de la vis a arrivera au contact de be (ce qui, d'après l'établissement de la graduation, correspond au nombre de contacts proposé n), elle relèvera l'extrémité de bc, permettant ainsi à l'extrémité d du bras bd d'abandonner à lui-même le levier g. Celui-ci
s'abaissera donc en entraînant la roue B qui engrènera avec la roue F, et les conséquences annoncées plus haut se produiront aussitôt. Pendant ce temps le poids H, agissant sur la roue E devenue libre par suite de l'éloignement de la roue C, l'entraînera à l'abri de tout contact des pièces en mouvement. 2° Qu'il suffit de régler l'axe portant la came, de
manière qu'il fasse un tour par heure, et de donner
à
ses parties courbes des dimensions égales et à ses parties droites une direction radiale, pour que, au bout de chaque
quart d'heure le levier g soit relevé par le bras vi et replacé (comme l'indique la figure) au-dessus de la saillie d
du bras bd, ce qui assure l'immobilité du chariot m et,
par suite, interrompt la ligne représentative du Phénomène comme il a été dit plus haut. Les indications précédentes ne sont pas les seules que l'on demande à l'anémographe. On veut, en outre, qu'il
EN VUE DE PRÉVENIR LES ACCIDENTS.
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de millimètres, que mesure la projection, parallèle au mouvement du chariot, de la ligne effectivement tracée par le stylet au bout d'un quart d'heure. On peut donc placer un petit butoir, dont la distance au point de départ
du stylet du chariot est de n' millimètres. D'autre part, la poulie k porte une broche 1, sur laquelle s'appuie un levier p', qui reste en contact avec la broche / et avec une pièce métallique q', jusqu'au moment où le stylet, ayant parcouru la distance égale à n', vient rencontrer le butoir déjà mentionné. De plus, dix secondes avant la fin de chaque quart d'heure, une pièce, liée au mouvement de l'horloge, vient toucher une borne métallique, qui, lorsque les pièces 1, p', cl sont en contact, ferme le circuit d'une sonnerie électrique. Si donc à ce moment les pièces 1, p', q' sont encore en contact, c'est-à-dire si le stylet n'a Pas atteint le butoir, ou, ce qui revient au même, si le débit minimum n'a pas été atteint, la sonnerie avertira que le service de l'aérage n'est pas satisfaisant.
L'appareil, tel qu'il vient d'être décrit d'après le modèle exposé, fonctionne d'une manière très satisfaisante à la fosse Heinitz.
avertisse automatiquement de l'instant où le débit du courant d'air atteindrait le minimum au-dessous duquel
on ne doit pas le laisser descendre. En vertu de la relation qui existe entre le nombre de tours de l'anémomètre et le débit par minute, on peut connaître le nombre N de tours qui correspond à ce minimum, c'est-
à-dire le nombre (N
de contacts électriques. En retranchant de ce nombre rapporté à un quart d'heure le nombre n défini plus haut, on obtient le nombre n' également défini ci-dessus, qui n'est autre que le nombre
V. ÉQUIPEMENT DE SAUVETAGE.
Appareil Fleuss perfectionné de Sarrebrück (voirfig. 9 à 15, Cet appareil respiratoire, destiné à permettre le Pl, X).
séjour dans les milieux irrespirables , se compose des parties suivantes : un masque, un cylindre à oxygène, un coussin à air et une caisse filtrante. L'ouvrier porte sur le visage le masque, d'où partent deux tuyaux, l'un d'expiration qui passe par-dessus l'épaule droite, l'autre d'aspiration qui passe par-dessus l'épaule gauche, pour