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SUR LES MOTEURS ÉLECTRIQUES
ci-dessn's. Le travail élémentaire dw, afférent au courant et contemporain du travail dtv,., est donc P2T2'1)21
2 OP ± 1,'»272
invariablement sur lui-même chacun des circuits, rien
PY
D'où, pour travail élémentaire total du déplacement relatif de l'armature d W.
dw,.-Edw'r
2 OP
OR
1,' p'
cos py X 2
dt,
+ 1,2
132
d t,
travail Proportionnel au temps, d'où résultent pour le couple, et pour le travail par unité de temps produit par la rotation absolue de l'armature
t
1:20.r= R p! (1,2,
L'p'-r=
tourne asynchroniquement. C'est ainsi que l'on peut constituer les parties conduc-
trices de l'armature par une série de barres rectilignes parallèles à l'axe 0, régulièrement disposées à la périphérie de la carcasse, qui sera soit cannelée, soit percée (Brown) pour les recevoir. Ces barres devront être reliées
Rp2(1,y 112
W
n'empêche d'en multiplier le nombre ; nos raisonnements n'étant qu'approximatifs, il peut n'être pas rigoureusement vrai que deux circuits suffisent à rendre constant l'effort moteur, tandis qu'on tendra certainement vers un régime aussi uniforme que possible, toutes choses égales d'ail-
leurs, en élevant le degré de symétrie du système qui
drW
C
rieur, on a intérêt à rendre minimum le nombre de ces circuits, on le fait donc égal à 2. Mais quand on cons-
truit l'armature sans bagues ni frotteur, en fermant
7:
[cospy (2 t
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A COURANTS ALTERNATIFS.
2 rc
730,
T)
Ainsi, il a suffi de l'addition du deuxième circuit de l'armature pour faire disparaître le caractère pulsatoire, et rendre constants, en régime durable, le couple et le travail moteurs. Il est évident qu'au lieu de mettre deux circuits seulement dans l'armature, nous aurions pu en mettre tout autre nombre compatible avec les symétries nécessaires pour qu'on pût considérer comme nul ou négligeable le flux total envoyé dans l'un des circuits par l'ensemble des autres. Au lieu de deux formules, on aurait eu à additionner une suite d'expression où les termes en t eussent été les cos. d'arcs en progression arithmétique de zéro à 2, somme qui est nulle. Lorsqu'on veut, pour les motifs qui seront dits plus bas, rendre variable 'à volonté la résistance des circuits, en intercalant dans chacun d'eux un rhéostat exté-
entre elles à leurs extrémités d'après un ordre symétrique, de manière à permettre le développement des courants utiles (Dobrowolsky); on peut même se contenter de relier indistinctement, à chaque extrémité, chaque
barre à toutes les autres, au moyen d'un plateau de cuivre, comme le fait M. Brown, dans ses armatures en cage d'écureuil. Revenons aux formules (6) et (7). La vitesse de glissement relatif -; varie en sens inverse de la vitesse absolue
du moteur, et pour O. = 0 elle a sa valeur maximum 2r,
Alors W est nul, ce qui était évident d priori; mais il n'en est pas de même de c : nous avons maintenant, en d'autres termes, un moteur capable de démarrer seul. Toutefois, en ce qui concerne l'appréciation du couple de démarrage, il ne faut pas perdre de vue que les hypothèses admises dans ce qui précède, d'après lesquelles les valeurs du flux (13 seraient indépendantes de l'inten-
sité des courants de l'armature, ne sont admissibles, Tome 1V, 1893.
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