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REVUE DE MÉCANIQUE 'APPLIQUÉE.
PNEUMATIQUE.
H(1 + P) étant le travail d'élévation du kilogramme d'air, chargé du poids P d'éléments provenant du combustible.
ment, sur un kilogramme d'air, s'obtient en multipliant la différence des pressions par le yolume v et, comme
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+ 11(1 + P) est représenté (fig. 10) par le diagramme FAGCDE ; H(1 + P) est le rectangle de base ED
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(1 + P), poids d'une colonne d'air à la température initiale de hauteur H, augmenté tv2 est donc figurée de la fraction P : la demi-force vive par la surface FAGCDJI, couverte de hachures.
et de hauteur EI
lE-
u,v0=---. 1, c'est
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Bu,' H.
Les données expérimentales d'où on peut déduire le coefficient B sont peu nombreuses. En outre, beaucoup de causes augmentent les résistances, telles que le passage à travers la grille et le combustible, les sinuosités et coudes des carneaux, l'irrégularité de la section de la cheminée.
Avec de telles incertitudes, la méthode pratique la plus simple pour déterminer les dimensions d'une cheminée, devant donner un débit déterminé, est de faire d'abord le calcul en supposant que toute la puissance motrice de l'appareil soit employée à créer la demi force vive z4 finale
a
Fig. 10. Tirage forcé.
Les frottements et les résistances, dont nous n'avons pas . Pour 14 tenu compte, réduisent la .demi-force Ntive '2 g
évaluer, on part de la relation empirique déjà plusieurs fois appliquée : on admet qu'il se produit; le 'lông des parois, sur une longueur L, une chute de pression supBtv'L, les lettres ayant toujours -même plémentaire eu 14 to signification. Dans le cas simple où la cheminée conserve la section sur toute la hauteur H, et où la température de la fumée ,ne varie> pas dans le, parcours, le frottement exige une différence supplémentaire des pressions aux deux extrémités égale à 0 Mc' H -la vitesse dans la section ,w, diffère de la vitesse finale w2, dans la sec; le travail .Correspondant au frotte7 tion contractée
2g
en d'autres termes, on calculera le rectangle
ABCD de la fig. 7. Les tracés de la fig. 8 montrent que le débit en poids varie fort peu, tant que la température centigrade des gaz reste comprise entre 175 et 400. Puis on appliquera au débit ainsi calculé un coefficient de réduc-
tion, déterminé d'après les renseignements disponibles. Avec les dispositions usuelles des chaudières, on donnera
à une cheminée haute de 20 à 25 mètres une section 'd'un mètre carré, pour brûler au tirage naturel environ 500 kilogrammes de houille par heure. La vitesse de sortie des gaz doit être au moins de 1'1,75 par seconde, pour que le vent ne coupe pas le tirage. 13. PASSAGE DES GAZ DANS LES TUBES DE CHAUDIÈRES.
En traversant un tube de chaudière, les gaz se
refroidissent fortement ; la variation de pression est assez faible pour que le volume du kilogramme soit sensible-
ment proportionnel à la température absolue. Peut-on encore appliquer les règles empiriques du frottement des gaz ? Abstraction faite du frottement, la formule usuelle
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