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SUR UN MODE PARTICULIER D AVARIES
nait le générateur fut démoli
(fig.
8). Coname accidents de
LE LONG DES RIVURES DE CHAUDTERES
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personnes, il n'y eut que trois blessés, dont un seul grièvement, parce que l'usine, isolée, était à peu près déserte. .Causes.de ces explosions. Ni à Boulogne, ni à Quincy, pas plus d'ailleurs que précédemment à Roubaix, l'enquête n'a découvert de cause d'explosion ailleurs que dans l'état
du générateur. Au lavoir de Boulogne, il est vrai, les
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FIG. 7.
machines étaient restées Stoppées depuis une heure environ, et la chaudière n'avait à fournir qu'un filet de vapeur sur une bâche à eau chaude ; mais rien n'autorise à croire que la pression ait dépassé le timbre. Quant à l'usine de Quincy, la chaudière y était, Semble-t-il, dans des conditions normales de fonctionnement modéré, à 1 kilogramme au-dessous du timbre, lorsqu'est survenu l'accident. Mais" la cause de chacune de .ces explosions apparaissait l'examen des cassures. La déchirure longitudinale suivant laquelle s'était ouverte la chaudière de Boulogne, le long de la rivure de gauche de la Virole antérieure du bouilleur de droite, montrait les particularités représentées par la fig. 9. Sur la moitié environ de son étendue, de la coupe n° 7 à la coupe n° 13, la déchirure était en dehors de la ligne normale de moindre résistance et affectait la tôle A de la demi-virole supérieure, ou tôle intérieure de l'assemblage, de la même manière qu'à Roubaix. L'exa-
men des lèvres de cette déchirure anormale, avant et après lavage à l'acide, montra des vestiges d'altérations préexistantes, placées surtout, de même qu'a Roubaix, le long de la face extérieure de la tôle, et intéressant, suivant les endroits, une fraction plus ou moins grande de son épaisseur. On a essayé de marquer sur la fig. 9 la valeur approximative de ces vestiges (*) au moyen de fractions inscrites le long du dessin de la cassure et indiEtc. 8.
(*) Les relevés relatifs à la chaudière de Boulogne ont été faits, avec beaucoup de soin, par M. le contrôleur des Mines Mald.