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88 NOTE Sue LA MINE AUX. MINEUÉS DE RIVE-DE,GIEJ-t.
CONDITIONS D'TABLISSEMENT DES DYNAMITIkRES
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Société de Lorette ; c'est à. ce moment que s'est constituée, entre les membres du Syndicat, la seconde Société civile dont il a été question plus haut ; mais, une fois de
plus, les pourparlers ont dû être rompus, .-et il parait
CONIIYIISSION DES SUBSTANCES EXPLOSIVES
aujourd'hui bien douteux qu'un arrangement puisse jamais
intervenir. Peut-être, cependant, la Société de Lorette finira-t-elle par céder et abandonnera-t-elle à ses rivaux les deux concessions qu'ils exploitent ; sinon, ceux-ci devront tôt ou tard se résoudre à déguerpir, à moins que l'Administration ne prononce contre la Société civile la déchéance demandée par le SyndiCat. Mais, quoi qu'il advienne aujourd'hui, il n'est plus question pour le Syn-
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RAPPORT SUR LES
EXPÉRIENCES DE 131-_,A_NZY
dicat, comme pour la Société civile, de prospérer ; il s'agit
seulement de vivre, peut-être même devrait-on dire : de végéter. Les fautes de tout ordre, et, en particulier, les dissensions intestines, ont ruiné une entreprise qui, en d'autres mains, eût assurément réussi.
ÉTUDE DES CONDITIONS D'ÉTABLISSEMENT DES DYNAMITIÈRES SOUTERRAINES
Le Ministre de la Guerre, par dépêche du e novembre 1893, a saisi la Commission des substances explo-
sives de l'étude des questions qui se rattachent à l'établissement des dépôts de dynamite dans les travaux souterrains des exploitations minières.
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Dynami fières en communication avec les travaux. Les premières recherches de la Commission ont porté sur les conditions d'établissement des dépôts souterrains de dynamite en communication avec les travaux, et sur les dispositifs d'obturation automatique permettant d'isoler,, en cas d'explosion, la dynamitière des galeries en exploitation.
Les résultats favorables obtenus, au cours des années 1894 et 1895, dans des expériences effectuées sur une échelle restreinte, ont conduit la Commission à formuler, dans un rapport en date du 10 octobre 1895, les' règles