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(
A PRISE DE COURANT AÉRIENNE
NOTE SUR LA TRACTION É.LECTRIQUE
D'autre part
pour régulariser la hauteur de la prise de courant, atté-
dy = dx tg a= -nci
)
e
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1,
ce qui donne, l'origine des y étant en 0, Fm. 90.
Section du fil aérien, ligne de Nantasket.
Foc. 91.
Détail d'une griffe d'isolateur.
fluer les réactions du trolley ou de l'archet et les balancements du système aérien ; mais la première de toutes les conditions est que la résistance du fil soit rée, quelque contraction qu'il éprouve lors des abaissements
o Foc. 92.
de la température. Or soient
Chaînette,
(fig.
92)
To et T, les tensions du fil en 0 et en un point quelconque M (x, y); a, l'angle de T avec l'horizon 1, la longueur courbe 0M; p, le poids du fil par unité de longueur. La chaînette est définie pas les équations d'équilibre évidentes T coS a .= To,
pl,
T sin a
[
y
e
Enfin T
p
.pl
SM a
+ 12.
Désignons par a la distance -de deux points d'attache est égale à la valeur de y pour consécutifs la flèche
f
x
a, 9 d'où, en développant les exponentielles en séries,
( f = 8m
a2
48 ii7,2 -L
-1
Pratiquement il suffit de prendre
pour valeur appro-
chée de f. De même, il suffit- de prendre mp, valeur de To, pour valeur approchée de p \1p22
T, même
aux extrémités du fil. L'effort tendant à rompre ce dernier est donc égal à nia par centimètre carré, en appelant le- poids spécifique du métal dont il est formé. Si R désigne la résistance à la rupture .par centimètre carré de ce métal, et n le coefficient de sécurité, on a, par. suite,
d'où l'on tire, en posant pour abréger
P
= m tg a.
On a par suite (lx
ce qui donne
dl COS a
+12
= nz,_
= Il Supposons, par exemple, que le Métal soit du cuivre dur 45>< 105 (45 kg : mm2). pour lequel on ait ), =-- 9 et R Si l'on veut qu'a une température donnée le coefficient de sécurité soit égal à 6, -on devra prendre : m
5
- X 10,, 6