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370 ÉTUDE SUR LES ENCLENCHEMENTS ENTRE LEVIERS
Remarquons, d'autre part, que, si l'on avait d'abord renversé Çl, le trou t de la barre Çl, qui aurait fait talc course vers la droite, ne se trouverait plus en face du verrou y et que, par conséquent', on ne pourrait plus renverser a qui resterait immobilisé dans la position normale
renversé enclenche a. normal, ce que on dit qu'alors l'on représente, comme précédemment, ,par la formule (.;
ÉTUDE . SUR LES ENCLENCHEMENTS ENTRE LEVIERS
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qu'établissent entre ces leviers les dispositions de la fig . 2. On voit d'abord que, dans la position normale des appa-
reils, le verrou y', étant engagé dans le trou t' de la barre y, immobilisera cette barre dans sa position normale, tant que l'on n'aura pas renversé cz. C'est ce qu'on exprime en:disant que a normal enclenche y normal, et ce que l'on représente par la formule symbolique
symbolique
aN pR
aN.
Si l'on renverse a, le verrou y' sortira de l'ouverture f ,
Les deux relations que nous venons de. trouver entr, les positions des leviers a et Ç résultent l'une et l'autre des mêmes dispositions des appareils : elles sont donc la conséquence l'une de l'autre, et on dit qu'elles constituent. des enclenchements réciproques. Remarquons que l'on peut exprimer d'une autre manière
et envisager par Suite sous une autre forme les enclenchements qui résultent des dispositions précédentes. on ne pourrait plus Si l'on avait renversé 'd'abord il en résulte que a R ne peut coexisensuite renverser OC ; ter qu'avec ?,N et non avec- ,(3R, ou encore que l'on ne est normal. De même, si l'on avait d'abord renversé a, on ne pourrait plus ensuite renverser ; il en résulte que R ne peut coexister qu'avec aN et non avec 'ait, ou encore que l'on ne peut renverser qu'autant que a est normal. On a souvent intérêt, comme on. le verra par la suite peut renverser OC qu'autant que
à considérer sous ce point de vue les deux enclenche-
la barre y deviendra libre, ainsi que son levier de manoeuvre. Le levier_ y pourra être renversé, la barre- y faisant une course vers la droite ; alors a ne pourra plus être ramené dans sa position normale, puisque le verrou y' 'ne se trouvera plus en face du trou t' ; on voit donc que y renversé immobilise a dans sa position renversée, ce que
l'on exprime en disant" que y renversé enclenche a renversé, et ce que l'on écrit symboliquement TR
ail
Les deux relations que nous venons de trouver entre les positions des leviers OC et y résultent l'une et l'autre des mêmes dispositions des appareils ; elles peuvent être regardées comme étant la conséquence l'une de l'autre, et on dit qu'elles constituent des enclenchements réciproques.
On peut envisager au- trement les conséquences ou
ments réciproques que représentent les formules symbo-
enclenchements qui résultent des dispositions précédentes.
liques,
Si l'on n'a pas d'abord renversé a, on ne peut renverser y ; il en résulte que yR ne peut coexister qu'avec IR, et non avec aN, ou encore que l'on ne peut renverser y qu'autant que a est déjà lui-même renversé. De même si l'on renverse d'abord a, puis y, on ne
aR pN
et
Pll aN.
Passons maintenant aux relations de position 9. entre les leviers a et y, c'est-à-dire aux enclenchements