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FONÇAGE
PAR
CONGÉLATION
DU
PUITS
N°
1
DE
marnes dites marnes micacées. Le toit de la formation ferrugineuse correspond donc au mur des marnes micacées. Désignation deM Braconnier
Désignation de M Jacquet
fiâmes à Ostrea S Marnes costata. û CJ Oolitlie îone calcaire ri de Jaumant vïarnes àOstrea lime marneuse aciiminata /////////////////////////^ . O Castme Calcaire 1 ou Calcaire à pobrpiers â polypiers
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Carte qéôloglqiie deîrance Balhorrien inférieur
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Calcaire à entroques
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FIG.
lias supérieni • 1*
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1
1.
Dans la vallée do l'Orne, au-dessus du lias, on rencontre le bajocien et la partie inférieure du bathonien inférieur. Le bajocien se compose, 'on partant de la base, de calcaires avec intercalations marneuses, surmontés d'un banc do calcaire à polypiers très caractéristique. C'est L'étage 0. de Braconnier,
LA
MINE
DE
FER
D'AUBOUÉ
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Le bathonien comprend, immédiatement au-dessus des calcaires à polypiers, une zone marneuse (marnes à Ostrea acuminata de Jacquot) avec bancs de calcaires intercalés, puis une assise calcaire stratifiée qu'aucun auteur n "a décrite et qui est caractérisée, au moins sur l'étendue de la concession, par une infinité de points rouges. Au dessus, une zone marneuse, sur laquelle repose une épaisse assise de calcaire oolithique, exploitée pour taille et moellons, est désignée par M. Jacquot sous le nom d'oolithe de Jaumont. L'ensemble de ces assises forme l'étage R, de Braconnier. Au dessus, les marnes de l'étage S, de Braconnier, communément appelées, dans le pays, argiles de Gravelotte (marnes à Ostrea costata de Jacquot), complètent le bathonien inférieur. Le toit des calcaires à polypiers, dont la dureté est extrême et le faciès parfaitement reconnaissable. constitue, dans tout le département, un excellent horizon géologique. Les calcaires à points rouges, de l'étage R, constituent également, à Auboué, un horizon très facile à retrouver; l'épaisseur de cette dernière assise varie entre 4 et 6 mètres, de sorte que là oii la partie supérieure est érodée, on peut se baser sur la cote du pied de l'assise. Enfin, le toit de la pierre blanche de Jaumont, recouverte de marnes, se reconnaît aussi très facilement; et, comme cette pierre est exploitée, toutes les carrières 'le la vallée de l'Orne fournissent des indications précieuses. Les sondages 1, 2, 3 et 4, recoupent tous le toit des polypiers el donnent la distance verticale existant entre le toit de cette assise et le mur de la couche grise. Le sondage n° 4 recoupe les calcaires à points rouges ; ces calcaires étaient visibles à côté de l'orifice du sondage n ° 1 et à côté du sondage n" 2. Le toit de l'oolithe de f&umont ne put être repéré qu'au sondage n° 4.