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SOUS LE TRACÉ DES LIGNES MÉTROPOLITAINES
CONSOLIDATION DES ANCIENNES CARRIERES Mètres . I
s -a
Report
14,60
Marne blanche
0,15
Caillasse dite « sucre candi »
0,35
Marnes et caillasses alternées
1 ,75
Caillasse grise
0,05
Marne blanche
0,20
Caillasse grise
0,05
Marne grise
0,40
Marnes et caillasses alternées
0,90
Caillasse dite « sucre candi »
0,35
Marnes et caillasses
0,15
Caillasse grise brisée Marne blanche
0,30 0,45
Sablon rouge
0,10
Caillasse brisée
0,20
Caillasse dite « sucre candi »
0,20
Banc calcaire dit « Rochette »
0,30
Caillasse brisée
0,30
\ Sablon rouge
0,10
Banc calcaire dit « Roche » (ciel ordinaire de la carrière supérieure) Bourrages de carrière a. S C3
Sol de carrière supérieure Banc calcaire dit « souchet » Banc calcaire un peu argileux « Banc vert ». .
0,60 1,65 23,15 0,80 0,40
Bancs de calcaire tendre « Lambourde » (ciel ordinaire de la carrière inférieure) Hauteur de galerie de carrière inférieure, .... Sol de carrière inférieure
1 ,50 1,60 27,45
L'exécution du souterrain, dont le radier se trouve à une distance variant de 1 à 15 mètres du ciel de carrière, a dû être précédée de travaux de consolidation systématique dont l'importance a dépassé celle de tous les travaux analogues exécutés jusqu'à présent. Le court délai dont nous disposions pour l'achèvement des travaux (dix ou douze mois au maximum) compliquait encore la question. Nous ne pouvions songer dans ces conditions a appliquer le système précédemment employé pour la con-
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solidation du chemin de fer de Sceaux et de l'embranchement du Métropolitain aux environs du Trocadéro. L'exécution de deux galeries maçonnées sousles piédroits du souterrain aurait exigé soit trop de temps, soit une multiplication excessive des points d'attaque ; d'autre part, il y aurait eu à craindre, sur d'aussi longs parcours, des erreurs de direction; on aurait également risqué, en menant parallèlement deux galeries aussi voisines, de trop découper le ciel de carrière et de provoquer des tassements qui auraient été nuisibles à la bonne assiette des ouvrages projetés. Il nous a paru préférable, après avoir tracé avec le plus grand soin l'axe du Métropolitain à la surface du sol, de lancer dans chaque étage de carrière une galerie de recherche unique, qui théoriquement devait suivre l'axe du souterrain, mais qui pouvait s'en écarter sans inconvénient en contournant tous les obstacles rencontrés, fontis ou piliers de masse en place. Une fois cette galerie exécutée, il devenait facile de placer sous les piédroits du Métropolitain un nombre de piliers do maçonnerie suffisant pour assurer la stabilité, et l'exécution de ces piliers pouvait être menée avec toute la rapidité désirable en multipliant les points d'attaque dans la galerie centrale. L'application de ces dispositions nous a conduits à étudier, pour les divers ouvrages de la ligne métropolitaine, une série de types de consolidation de forme géométrique, dont nous avons cherché à nous rapprocher le plus possible en pratique, mais qui, très simples, se prêtaient à toutes les modifications reconnues nécessaires en cours d'exécution. Nous nous bornerons à indiquer en détail les types applicables à l'exécution des travaux courants : la consolidation du souterrain normal et la consolidation des gares. Lorsque nous avons eu à consolider des ouvrages spéciaux, tels que des bifurcations ou des passages de la