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THÉORIE
DES
MOTEURS
A GAZ ET
A
PETROLE
THÉORIE
DES
MOTEURS
A
GAZ
ET
A
PÉTROLE
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avec
On a donc Pi) _ Vjàli.
Par suite : B =1»
Ta
= >•«
c— c
M, + c'T,
«*
}
Or on sait que, pour une masse de gaz occupant le bme moléculaire 22',32 à 0»,760 millimètres, la chaV0 let /spécifique à volume constant est la même pour to«*
Ces formules donnent le rendement en fonction des variables indépendantes a, pa , T { et dosage. On voit que le rendement théorique ne dépend pas de p a 3°
MACHINES
A ADMISSION PROGRESSIVE.
,es gaz parfaits et égale à^, danc on a :
c -
19. Dans certains moteurs à pétrole (moteur Diesel par exemple), le combustible est introduit au fur et à mesure de la combustion. Nous désignons ces machines sous le nom de machines à admission progressive. Le raisonnement, dans ce cas, doit être légèrement modifié.
P«V,
-273 4,5 1000 10330 X 0,02232 T,
en posant =
4,!> X 273 1000 X 10330 X 0,02232
coefficient de proportionnalité dépend de la nature du gaz. du dosage ; M, peut s'exprimer de la façon suivante :
Nous définissons l'état initial du mélange combustible de la façon suivante : L'air est placé dans le moteur au moment où l'admission du pétrole va commencer; le pétrole est dans un autre cylindre à piston et à une pression égale (sensiblement) à la pression dans le cylindre moteur au même moment. Nous supposerons, d'autre part, que les températures sont les mêmes, T,, dans ces deux enceintes.
apa (a
L'état final sera le même que précédemment, représenté par le point D.
et C =
, Pa.av (J.A ~r"~ M
D'autre part, M, est proportionnel au poids du gaz J
a
combustible admis, qui est sensiblement ^ ^
M, _
■ i) V
Tj
a
—
et le
>
Les raisonnements que nous avons faits précédemment sont entièrement applicables, et OH a :
a étant une fonction du dosage seul. On a donc finalement '
a*
1
q' = A5 e + U a - U„
' a (a — 1) \ + AT,
\)gk-*
a*
'/
- condition de tenir compte dans S du travail dépensé
e dans l'enceinte à pétrole pour faire pénétrer le pétrole
k —l
a (a — 1)
dans le cylindre moteur. Or ce travail est
Ç pdv, ri étant