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LES EXPÉRIENCES DE POSITION RÉSULTAT SUSRFACE URFACE
GELSENKIRCHEN-BISMARCK
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Avec 2 tarais cette surface descend à 3S2 cm2 et avec 3 tamis elle s'abaisse à 123 e '" 2
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On voit, par ces expériences, que si une seule des faces de la bombe est munie de tamis, peu importe qu'elle soit horizontale ou verticale. Le nombre des tamis a pour effet d'augmenter la sécurité beaucoup plus vite que ne croît la surface totale offerte au refroidissement des gaz. Ainsi, avec un seul tamis, il faut, pour qu'il n'y ait pas explosion au dehors, une surface refroidissante de 455 cm ", soit, la contenance de la bombe étant de 42 litres, 10 rm2 ,8 par litre.
OBSERVATIONS DELA EBOMBE=Explosion
1 I
LES MOTEURS ET L 'APPAREILLAGE ÉLECTRIQUES
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Seulement les effets calorifiques produits sur les premiers tamis sont tels qu'il n'y a pas moyen de descendre à cette limite inférieure. Ces résultats s'expliquent : en multipliant les tamis, on diminue, dans une proportion considérablement plus grande, la vitesse d'écoulement du gaz, à pression égale, de sorte que les échanges de chaleur deviennent plus importants. Ce sont naturellement les premiers tamis qui sont le plus échauffés. D'autre part, une élévation de la pression en est aussi la conséquence, qui augmente la dé.ténte et, par conséquent, contribue à refroidir la flamme. La flamme, en forme de dard de chalumeau, observée dans l'expérience n° 21, indique bien que la détente a joué son rôle, comme dans les expériences sur les petites ouvertures. On voit que les deux facteurs de sécurité, vitesse d'écoulement et abaissement de température par la détente, viennent ainsi se substituer partiellement à l'abaissement de température par échange de chaleur. La perignition a été à peu près générale toutes les fois qu'il n'y a pas eu explosion, et d'autant plus prononcée que la surface refroidissante était plus élevée. Elle