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ÉTUDE DES VENTILATEURS CENTRIFUGES
ÉTUDE DES VENTILATEURS CENTRIFUGES
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— géométriquement, avec une approximation suffisante — les surfaces qu'elles déterminent et dont les grandeurs
cuivre, de 5 millimètres de diamètre), dont deux directement opposés l'un à l'autre, de façon que leurs sections d'ouverture fussent toutes deux parallèles au plan méridien local de l'ajutage, pour la détermination de la dépres-
donnent les valeurs de / (ce qui peut toujours être fait
1 11 sion locale ? au moyen de - (h + H,.), - h et - H,, se
fonctions de
r qui sont sous le signe /
, -et mesurer
0
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avec le planimètre, ou, à défaut, par décomposition en trapèzes suffisamment petits), de manière à établir ainsi les valeurs des quantités utiles à connaître, dans le plus grand nombre possible de circonstances diverses du fonctionnement du ventilateur. Dispositif de l'expérimentation. — En conséquence, j'ai disposé mon expérimentation de la manière suivante. Après avoir fait placer le ventilateur qui a été mis à ma disposition et dont les dimensions étaient : Diamètre de la turbine (D) Largeur de la turbine (L) Diamètre de l'ouïe (2R)
0 m ,91S 0 m ,310 0 m ,500
avec un court ajutage cylindrique, de même diamètre que cette ouïe, en tôle lisse, que j'y ai fait adapter à joint hermétique (pour pouvoir y fixer l'es instruments de mesure de ? et de v), le tout sur un bâti solide, au-dessus d'une fosse, de manière que la sortie de l'air par la périphérie de la turbine (qui était sans enveloppe) se fit librement tout autour, — j'ai fait placer, dans la section droite d'entrée de l'ajutage, au centre, à la périphérie, à la moitié, au quart et aux trois quarts de la longueur du rayon de sa section droite (*), de là manière que j'ai indiquée cidessus, les extrémités de trois tubes de manomètres (en (*) Plus tard, pour compléter, par des renseignements complémentaires nui m'ont paru nécessaires, les indications obtenues aux points précédents j'ai opéré de même pour des points à 20 et à 40 millimètres de la périphérie.
r
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lisant directement sur chacun des deux manomètres muni d'une échelle divisée en millimètres, placée entre les deux branches de son tube en U, échelle dont leO était au droit de la position d'équilibre dans laquelle se trouvaient les deux surfaces de l'eau quand elles étaient de niveau ; et le troisième tube de manomètre de façon que sa section d'ouverture fût perpendiculaire à la direction do l'axe longitudinal du cylindre-ajutage et reçût directement et sans déviation notable l'action du filet d'air entrant, pour donner le h,', qui figure dans les formules posées cidessus et qui était le double du nombre de millimètres lu sur l'échelle du manomètre correspondant. D'ailleurs, pour qu'il n'y eût pas en même temps trop do tubes dans l'intérieur de l'ajutage, ce qui aurait pu altérer notablement l'allure naturelle de l'air entrant dans cet ajutage, j'ai divisé les expériences en trois séries: dans l'une, j'ai expérimenté au centre, à la périphérie et à la moitié du rayon ; dans l'autre, à son quart et à ses trois quarts; dans l'autre encore, à 20 et à 40 millimètres de la périphérie; en disposant, chaque fois, les groupes de trois tubes de manière qu'ils n'altérassent que le moins possible l'allure naturelle de l'air. Ces tubes, à leur traversée de la tôle formant la périphérie de l'ajutage, y étaient fixés à douille et virole, puis allaient, en dehors, jusqu'à leurs manomètres (à eau et en verre), tous fixés sur planche, en tableau, avec leurs tubes en U bien verticaux. Quand une vitesse de rotation du ventilateur était indiquée (par un tachymètre) comme bien établie et se