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LES CALCAIRES ASPHALTIQUES DU GARD
LES CALCAIRES ASPHALTIQUES DU GARD
trouvé jusqu'à - 365, et s'étend vers l'Ouest d'une façon encore inconnue. On aurait donc interstratifié, dans les s»
dage Barrillon, traversa, en 1904, 100 mètres de terrains sans résultats également. Ces trois sondages, qui explorèrent la région comprise entre la concession de Saint-Jean et la série des concessions asphaltiques du Sud, ne trouvèrent rien d'exploitable. Entamés dans l'Infratongrien ou le Tongrien, ils semblèrent montrer que, dans cette partie, l'Infratongrien n'existait pas ou n'était pas minéralisé, et que la lentille de Saint-Jean n'avait pas de pareille au Sud.
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calcaires lacustres, une zone bitumineuse dont la superficie reconnue actuellement serait d'environ 130 hectares. ■
§ H. — RECHERCHES DIVERSES.
Deux sondages pour bitume ont été effectués en 19041905 au Nord d'Auzoà et au Sud de Saint-Jean-de-Maruéjols par M. Barrillon. Le premier, à 500 mètres à l'Est d'Auzon, sur la rive gauche de l'Auzonnet, traverse une m formation marno-calcaire sur une hauteur de 448 ,40, sans trouver autre chose entre 210 et 227 que des traces bitumineuses dans un calcaire crevassé de silex. Le second, fait à 1.200 mètres au Nord du précédent et toujours sur la rive gauche de l'Auzonnet, à 6 kilomètres au S.-S.-O. de Saint-Jean, ne fut pas plus heureux et, m poussé jusqu'à la profondeur de 445 ,80, ne trouva pas trace de bitume. Un sondage de la Société du Val de Travers, à Rivière, à 2.200 mètres au S.-S.-O. du sondage 11 de la région de Saint-Jean, à 1.750 mètres au N.-O. du second son-
Quelques travaux ont aussi été faits à des époques 'diverses sur quelques affleurements asphaltiques, dans des parties autres du bassin tertiaire d'Alais. Près de Milhaud, dans une tranchée du chemin de fer d'Alais à Montpellier, on trouva des bancs de calcaire à imprégnation bitumineuse très irrégulière sur une hauteur de 4 mètres ; le bitume suintait de cassures de la roche; la direction des bancs était O.-N.-O., et l'inclinaison N.-N.-E. était de 40° environ. Le gisement était d'ailleurs peu riche et ne fut jamais exploré sérieusement ; les calcaires minéralisés semblent appartenir à l'étage néocomien. Etage àn. aile de Serras Calcaire aspliartkrue OUEBt
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Saint-Privat.
Plus importantes furent les recherches de Saint-Priat-des-Vieux (localité de l'arrondissement d'Alais, à 5 kilomètres à l'O.-N.-O. de Mons), faites sur un affleurement de calcaire asphaltique paraissant trè snettement, a u point de vue géologique, au-dessus du niveau exploité v