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DES
ACCIDENTS
D'APPAREILS
A VAPEDR
trouvait accidentellement poussé vers la fosse, rien n'empêchait sa partie inférieure d'obéir à l'impulsion et de faire
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A VAPEUR
tête de bielle, il devait être soulevé et décroché. C'est vraisemblablement ce qui eut lieu, bien que l'on ne puisse être certain des détails.
VI. RÉCIPIENT DE VAPEDR.
Fasse
J
FIG. 46.
Mentionnons enfin qu'un accident mortel s'est produit dans l'emploi d'un récipient de vapeur timbré à 750 gr seulement et servant, à bord d'un paquebot, aux opérations de désinfection. L'accident, survenu le 5 juillet 1907, a consisté dans le départ violent de la porte fermant l'é.tuve à l'une de ses extrémités. Ce couvercle était assujetti par une série de verrous que l'on manœuvrait tous ensemble, au moyen d'un volant à vis placé au centre et actionnant des renvois articulés. Les verrous étaient en forme de coin, afin d'assurer le serrage, et la réaction de l'effort exercé sur la vis était supportée par une coquille en fonte portant l'écrou. On avait pris l'habitude, quand le joint fuyait, de faire effort sur le volant de manière à augmenter le serrage. On présume que c'est une manœuvre de ce genre, opérée au cours du service, qui a produit la rupture de la coquille ; celle-ci, faite de fonte ordinaire, n'avait pas une résistance en rapport avec les efforts que la petitesse du pas de vis permettait d'exercer. Cette rupture a libéré les verrous et la porte a été projetée. Le chauffeur a été tué et un infirmier blessé grièvement.
— Coupe par l'axe de l'arbre.
saillie dans le vide réservé au mouvement de la bielle. De plus il était situé de telle sorte que, rencontré par la Tome XIU, 1908.
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