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subira un accroissement dont l'humidité augmentera les désavantages. Pulvérisation. -— A l'emploi de la Tapeur, il convient de préférer la projection de l'eau sous une forme très divisée, ou pulvérisation, à l'effet d'accroître la quantité d'humidité que renferme l'atmosphère souterraine. Cette opération peut s'effectuer au moyen de réservoirs mobiles ou d'appareils fixes montés sur une canalisation. Ces appareils présentent l'inconvénient de s'obstruer à tel point qu'après les avoir adoptés, à l'origine, nombre d'exploitations renoncèrent à leur usage. On voit donc toute l'importance qu'il y a lieu d'attacher
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à l'emploi d'un appareil robuste, dont le fonctionnement régulier soit assuré. A cet égard, les pulvérisateurs à
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petits orifices sont particulièrement délicats. Tel est le type, ingénieux d'ailleurs, employé au charbonnage de Browney, pour l'arrosage des wagonnets chargés (*). La douche de Lechler, décrite page 173, aurait donné de bons résultats, aux États-Unis notamment (fig. 24). Signalons également les appareils Korting. En tout état de cause, si l'eau destinée à la pulvérisation renferme en suspension des matières susceptibles d'obstruer les appareils, il importe qu'elle soit soumise à la décantation ou à la filtration. Au charbonnage de Talk o' th' Hill, la pulvérisation s'opère par l'emploi simultané de l'eau et de l'air comprimé, parcourant deux canalisations distinctes {fig. 25); on réduit ainsi la quantité de liquide. Dans une autre exploitation, aux houillères Charlaw et
FIG .
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-Sacriston (Durham), on se borna d'abord à placer deux kortings, ne fonctionnant que quatre ou cinq fois par jour. (*) F. BREYNAERT , Note sur la question des poussières dans les mines anglaises {Annales des Mines, dO» série, t. XII, p. 541).
Tome XV, 1909.
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